Attention aux photos qui risquent de choquer les plus jeunes
Caged Beauties
Chorégraphe des scènes d’action : Hon Gwok
Choi. Histoire : des personnes sont prises en otage par un groupe de révolutionnaires et placées dans un camp de prisonniers. Les hommes doivent travailler et les femmes intégrer une sorte de harem… Brève critique : un inventaire cinématographique de brutalités à l’encontre des prisonniers (hommes et femmes). C’est le seul scénario, avec en prime des tentatives d’évasion et des scènes d’action plutôt réussies. Moyen au final. Call Girl
Distribution : Lau Hoh Man,
Charlie Cho Cha Lee,
Ng Yee Saan, Yau Lee Ting, Geung Dai Chuen. Histoire : une joueuse invétérée doit se prostituer pour rembourser l’argent qu’elle a emprunté à une maquerelle. Brève critique : pas visionné. Can’t Stop My Crazy Love For You(aussi connu sous le titre : Don’t Stop My Crazy Love For You)
Réalisateur :
Hon Wai Daat. Histoire : un maniaque amoureux d’une présentatrice télé décide de tuer son fiancé pour la posséder. Brève critique : un navet qui cumule violence gratuite, dialogues ridicules, acteurs pénibles et mise en scène de tâcheron. Peu de sexe. On y retrouve deux des plus beaux fleurons du genre : Simon Yam et Michael Wong ! Cash On Delivery
Réalisateur
: Terry Tong Gei Ming. Histoire : un ancien gigolo reprend du service devant la somme qui lui est proposée. Malheureusement pour lui, il fera un enfant à sa cliente et celle-ci tombera follement amoureuse de lui… Brève critique : Simon Yam a créé à lui tout seul un genre à part entière, le « film de gigolo » (Hong Kong Gigolo – 1990, Gigolo And Whore - 1991, Gigolo and Whore 2 - 1992, Friday Gigolo - 1992). Ce n’est malheureusement pas le meilleur épisode d’une série somme toute faiblarde… Les amateurs de cinéma hongkongais seront heureux de trouver au générique d’assez bons et en tout cas vrais acteurs : Veronica Yip, Sandra Ng et Michael Chow (en plus de Simon Yam). Passable.
Réalisateur
: Billy Tang Hin
Shing. Histoire : le récit, inspiré de faits réels, suit l’ascension d’un petit voyou qui deviendra un des gangsters les plus importants de Hong Kong et Macau. Brève critique : bien qu’inspiré de faits réels (c’est uniquement pourquoi il a été classé en catégorie 3), le film ne parvient jamais à être plus qu’un simple produit de série. Aucune analyse psychologique (le héros, « Broken Tooth », est lui-même producteur !), mais tous les poncifs du genre (combats de rue, gunfights, vengeance, traîtrise…). On ne s’ennuie cependant pas, malgré la faible consistance des acteurs. China Dolls
Réalisateur :
Yeung Chi Gin. Histoire : une prostituée, malmenée par la vie, tente de retrouver son enfant qu’elle a dû abandonner à sa naissance. Brève critique : un film qui prend plaisir à humilier les femmes qui sont encagées, violées, torturées, battues… Pas une seule once d’humour et juste quelques scènes d’action à sauver dans ce film déplaisant à souhait. A noter la présence de deux acteurs qui ne sont pas sortis grandis de cette aventure (mais peut-être un peu plus fortuné !?) : Lam Ching Ying et Wu Ma. (voir aussi Zéni) Chinese Erotic Ghost Story
Réalisateur
: Dick Cho Kin Nam. Histoire : un agent des impôts, qui ne supporte pas sa femme, tombe amoureux d’une des concubines de son supérieur. Pour lui plaire, il va voler une statue dans un temple. Un fantôme féminin apparaît… Brève critique : un film au scénario stupide mené par un acteur très moyen. Les actrices sont ravissantes, mais on ne les voit pas beaucoup… Seule la photographie tire son épingle du jeu. Chinese Torture Chamber Story
Réalisateur
: Bosco Lam Hing Lung. Histoire : un couple adultère est accusé d’avoir empoisonné le mari trompé grâce à un aphrodisiaque ayant pour effet de faire exploser le pénis (!). Ils seront torturés pour obtenir leurs aveux. Brève critique : une très bonne production Wong Jing qui livre au spectateur ce que le titre laissait entrevoir ! Certes l’humour est franchement lourd, mais le réalisateur prend un tel plaisir à nous faire découvrir tous les instruments de torture en vogue sous la dynastie Ching (même si certains sont de son cru !) que l’on ne peut qu’applaudir. A noter une scène d’anthologie qui nous montre Elvis Tsui et Julie Lee faisant l’amour en apesanteur dans une forêt. Mythique ! City Maniac
Distribution :
Cheung Gwok Keung, Danny Lee
Sau-Yin, David Siu Chung Hang, Lee Kim Chung,
Ng Gwok Wai, Ricky Yi Faan Wai, Timothy
Zao, Yeung Yuk Mooi. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Club Girl
Distribution : Hui Hiu
Daan, Lau Gwing Him, Suen Ga Lam. Histoire : un mari comblé, heureux en amour et en affaires, abandonne tout pour une danseuse de bar. Sa vie se tournera bientôt en cauchemar. Brève critique : pas visionné.Come On Girls
Distribution :
Yip Sin Yi, Suen Tong, Lam Yue Fei, Lee Ho Kwan, Tam Gwok Wah, Wong
Hung. Histoire : chronique de la vie d’un gigolo. Brève critique : pas visionné.
Réalisateur : Jacky
Lui Siu Lung. Histoire : un couple de japonais décide de partir enquêter sur l’existence d’une « maison de confort » en Chine (bordels créés par l’armée japonaise lors de la guerre avec la Chine). La femme est alors capturée et enrôlée parmi les prostituées. Son ami va réagir. Brève critique : un curieux film sur un sujet explosif, les maisons closes ouvertes par l’armée japonaise durant l’invasion de la Chine lors de la Seconde Guerre Mondiale (et dont l’existence n’a été reconnue par le gouvernement nippon qu’en 1991 !). On ne sait pas trop où veut en venir le réalisateur : dénonciation, exploitation, racolage… mais il faut avouer que, malgré le faible budget, cela fonctionne. A noter que les Japonais ne sont pas diabolisés. Comic Dreams Of ‘97
Réalisateur
: Chan Ta Histoire : rêves érotiques qui deviennent réalité, policiers voyeurs, scènes de douche et de bain, couple d’Anglais obsédés… du grand délire ! Brève critique : un film qui trouve ses racines dans la comédie érotique « nonsensique ». Soixante minutes de n’importe quoi qui, au final, ne sont pas déplaisantes du tout ! The Complicated Raping Case
Réalisateur : Lok
Daai Yue. Histoire :
une riche femme est victime d’un chantage lorsque son mari et sa maîtresse
sont retrouvés morts. Une histoire de viol se mêle à cette affaire… Crazy Love
Réalisateur
: Roman Cheung Shiu Lun. Histoire : la découverte du sexe par une jeune étudiante chinoise, au cours d’une université d’été en Angleterre. Brève critique : une aubaine pour les fans de Loletta Lee (il y en a beaucoup !) qui apparaît nue tout au long du film. Aucune violence (un chahutage d’étudiants, peut-être…), mais de l’innocence et de l’insouciance, si rares dans la catégorie III. Sympathique. Dances
With The Snakes
Réalisateur :
Lee Gin Hing. Histoire : trois femmes serpents séduisent et aspirent l’énergie sexuelle de jeunes hommes pour disposer des forces nécessaires à leur combat sans répit contre un vieux maître. Elles croisent un jour le chemin de deux prêtres catholiques… Brève critique : un film à petit budget qui peine à démarrer… mais devient soudain d’une inventivité constante. Acrobaties sexuelles, humour, jolies filles : l’attente est récompensée ! Dancing Boy In Underworld Street
Distribution :
Ken Tong Jan Yip, Dick
Wei, Shing Fui On,
Melvin Wong Gam San, Wong
Wing Fong. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Dangerous
Encounter – First Kind
Réalisateur :
Tsui Hark. Histoire : une jeune fille au comportement plus que sadique (elle prend un malin plaisir à torturer des animaux) est un soir témoin d’un accident : trois étudiants renversent sous ses yeux un travailleur de nuit qui ne survit pas au choc. Elle retrouve les jeunes gens et décide de les faire chanter en les forçant à commettre des actes sadiques et barbares. Au cours de leurs exactions, ils s’emparent d’une grosse somme d’argent appartenant à une organisation criminelle. Ils seront dès lors poursuivis par des gangsters enragés… Brève critique : LE classique et LE chef-d’œuvre du cinéma hongkongais révolutionnaire. C’est un peu pour lui que la catégorie III a été créée ! A l’époque de sa sortie, les autorités demandèrent d’ailleurs à Tsui Hark d’y effectuer de nombreuses coupes et de retourner entièrement des scènes complètes. Malgré ce travail de modération, le film est encore un brûlot nihiliste, âpre et brutal, que certains trouveront à la limite du supportable (notamment les défenseurs des animaux…). La jeunesse hongkongaise et les instincts humains n’y sont pas montrés sous leur meilleur jour ! Après seulement deux films, Butterfly Murders et We’re Going To Eat You, Tsui Hark nous livre sa pièce maîtresse, une œuvre politique et engagée, explosive, intelligente, et qui restera son unique incursion franche dans la critique sociale (vraisemblablement pour des raisons d’échec financier…). Un classique ! (DOV) Encore plus agressif que son précédent film, intitulé quand même We Are Going To Eat You, Tsui Hark va si loin que son film est interdit par la censure locale. Obligé de le retourner en partie, la deuxième monture de l'Enfer des armes reste malgré tout un sacré choc. Son ambiance sordide et malsaine prend le spectateur aux tripes, offrant une vision de notre monde contemporain complètement désespérée. Chaque personnage du film est tour à tour tortionnaire et victime, de toutes les façons antipathiques. Même les objets sont investis d'un potentiel de destruction. Dans cet univers nihiliste, le réalisateur évite judicieusement de présenter des personnages aux actes déterminés par quelques raisons que se soient. Au contraire, les quatre personnages principaux sont des intellectuels, ils n'ont pas de problèmes matériels, l'un des garçons est même le fils d'une riche famille. Face à cette étalage d'agressivité gratuite, c'est au spectateur de chercher à comprendre. Un grand film donc, bien supérieur aux tentatives poussives des réalisateurs occidentaux qui veulent aborder le thème de la violence dans la société moderne. (Laurent Henry) Daughter Of Darkness
Réalisateur :
Ivan Lai Gai Ming. Histoire : un quadruple meurtre a été commis. Un curieux inspecteur enquête… Brève critique : un film sordide, violent et dérangeant – mais pas inventif pour un sou - qui contient son lot de nudité et d'hémoglobine. La faiblesse de sa construction (du comique troupier vient soudain casser la tension), la débilité du scénario et l’esthétique d’une rare laideur font qu’il échoue à se hisser au niveau d’une œuvre culte. Bonne performance je-m’en-foutiste d’Anthony Wong. Une petite touche subversive contre le régime communiste chinois est cependant une bonne surprise dans un tel film (et c’est plutôt gonflé à un peu plus de 3 ans de la rétrocession) !
Note : critiques approfondies du dvd et du film ici. Daughter Of Darkness II
Réalisateur :
Ivan Lai Gai Ming. Histoire : une famille a été assassinée. Un curieux inspecteur enquête… Brève critique : le film commence par l’enquête policière (notez bien les méthodes ahurissantes de l’inspecteur : masturbation de tous les hommes du village…), se poursuit par des scènes érotiques (classiques dans le cinéma hongkongais de catégorie III) et s’achève par un bain de sang (ultra-violent). Comme son prédécesseur, auquel il est quelque peu supérieur, Daughter Of Darkness II est glauque, voire insupportable : l’éternelle histoire de vengeance, avec viols, morts brutales, auto-avortement… Vous voilà prévenus ! Note : critiques approfondies du dvd et du film prochainement sur HKC1.
Réalisateur :
Lee Gwing Gaai. Histoire : une jeune femme est violée et tuée. Son mari demande de l’aide à trois de ses ex-compagnons de guerre (celle du Vietnam !) pour assouvir sa vengeance. Armés jusqu’aux dents, ils réaliseront un véritable carnage. Un policier lâche et peureux est chargé de les arrêter… Brève critique : un véritable navet ! Pas de scénario, mais des gens qui tirent dans tous les sens, qui tuent, qui font des grimaces, qui meurent, qui pleurent… Simon Yam est affligeant et son personnage n’inspire aucune compassion. A éviter. (DOV) Considéré par HKmag comme le film le plus gore de Hong-Kong, ce film n'est qu'une vaste connerie décérébrée avec Simon Yam mêlant des scènes crapoteuses (ultra violence, viols…) sur les 40 dernières minutes du film. Inutile donc, si vous voulez voir un " bon " catégorie III, référez vous à la rubrique Bis-Zone. (Master Cyco) (voir aussi Zéni) Daze Raper
Réalisateur : Wilson
Yip Wai Shun. Histoire :
un gardien de prison est mis à la porte pour avoir fait du trafic avec
les prisonniers et financer ses dettes de jeu. Au chômage, il trouvera
des moyens peu orthodoxes pour gagner de l’argent… Brève critique : le film commence par une description intéressante de la descente aux enfers d’un ancien représentant de la loi. Puis, il accumule tous les travers de la catégorie III classique : meurtres, viols… Dommage. Dead Curse
Réalisateur :
Chong Biu Man. Histoire :
un policier arrête une cérémonie diabolique et sauve une jeune fille
qui allait être sacrifiée. La sorcière lui jette alors une malédiction.
Quatre ans plus tard, il est en chaise roulante et sa famille est témoin
d’événements étranges et effrayants. Brève critique : un film qui veut faire peur mais qui n’y parvient jamais. Deux scènes de nu qui ne valent pas le classement en catégorie III. Deadly Desire
Réalisateur :
Billy Tang Hin Shing. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. The Demon Wet Nurse
Réalisateur : Ha
Jo Fai. Histoire :
pas visionné. Brève critique :
pas visionné. Devil And Master
Distribution : Wu
Ma, Alex Fong Chung-Sun, Guk
Fung, Lau Siu Gwan. Histoire : pas
visionné. Brève critique : pas visionné. Devil Girl 18
Réalisateur :
Lam Wah-Chuen. Histoire : six petits récits entremêlés touchant à l’horreur et au fantastique. Brève critique : un film quasi incompréhensible, totalement brouillon, avec son quota de scènes de sexe (douches, tai-chi sans vêtements…), de viols et d’éléments fantastiques (exorcismes, combats de prêtres…). Sans intérêt. Devil Of Rape
Réalisateur :
Fong Yau. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Le film semble faire partie du sous-genre « viols », très en vogue à Hong Kong à une certaine époque. A noter la présence d’une star de la catégorie III, Pauline Chan (suicidée mi 2002). Devil Sex Love
Réalisateur :
Gam Ji Laap. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Devil’s Woman
Réalisateur :
Otto Chan Juk Tiu. Histoire : une piètre actrice, afin d’obtenir la célébrité, vend son âme au diable et s’engage à tuer différentes personnes. Un policier, choqué par la perte d’un collègue dans une opération qui a mal tournée, est chargé d’enquêter sur une série de meurtres... Brève critique : un catégorie III au-dessus de la moyenne, notamment grâce à la présence du pape du genre, Elvis Tsui Kam-Kong, et à quelques scènes d’anthologie (fœtus qui explose, chat dans un micro-ondes, mutilations…). Le scénario part malheureusement un peu dans tous les sens : on ne voit pas l'évolution de carrière de l'héroïne et la raison des meurtres n'est pas totalement explicite. Note : Pour plus d'infos concernant le DVD et le film, cliquez ici Diary Of A Serial Killer
Réalisateur : Otto
Chan Juk Tiu. Histoire : un tueur assassine des femmes et conserve la trace de ses méfaits dans un journal électronique. Brève critique : violent et stupide, grâce à son scénario aussi épais qu’une feuille de papier cigarette. (voir aussi Zéni) Distinctive
Distribution :
Cecilia Yip Tung, Chan Kwok-Bong, Ku
Feng, Woody Chan Chin-Pang. Histoire : pas
visionné. Brève critique : pas
visionné. Don’t Call Me Gigolo
Réalisateur : Ma
Siu Wai. Histoire : un gigolo fait l’erreur de tomber amoureux de la petite amie d’un chef de triade. Brève critique : pas visionné. Dr. Lamb
Réalisateur
: Danny Lee Sau-Yin. Histoire : un chauffeur de taxi, arrêté et interrogé par la police, s’avère être un tueur en série nécrophile. Il parcourait la ville à la recherche de proies, principalement des prostituées. Brève critique : un film surestimé, considéré à tort comme un des fleurons de la catégorie III gore ! Ce n’est en fait qu’un navet qui accumule sans imagination les scènes de viols et de meurtres (dans un sens ou dans l’autre !). Simon Yam est ridicule car il en fait beaucoup trop en poussant des cris et roulant des yeux chaque fois qu’il se prépare à tuer. Un piètre élève du maître Anthony Wong… Danny Lee, producteur et réalisateur qui s'est encore donné le rôle du policier redresseur de torts, est comme à son habitude pitoyable. Seuls points positifs, mais qui ne justifient en rien la vision de ce désastre : la photographie et l'ambiance horrifique. Le soin apporté aux lumières en intérieurs ou en extérieurs, la pluie incessante (le tueur n'agit que pendant les orages) et les décors glauques à souhait, créent une atmosphère des plus intéressantes, assez proche de ce qu'on peut trouver dans les meilleurs polars de série américains. Note : critiques approfondies du dvd et du film ici.
Distribution :
Lee Wai Gwan, Rena Murakami, Pauline Chan Bo
Lin, Pauline Lee Bo Ling, Yip
Sin Yi, Emily Lam Mei
San, Charlie Cho Cha
Lee, Lee Chung Ling. Histoire : compilation de scènes de sexe issues de films classés en catégorie III avec seulement trente minutes de nouvelles prises. Brève critique : pas visionné. |
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(Critiques effectuées par David-Olivier) |
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