Attention aux photos qui risquent de choquer les plus jeunes
Ebola Syndrome
Réalisateur :
Herman Yau Lai To. Histoire : un individu pervers viole, tue et donne à manger aux clients de son restaurant de la viande humaine. Découvert, il prend la fuite en Afrique, viole une femme mourante atteinte du virus ébola et revient avec la maladie qu’il prendra un malin plaisir à répandre là où il passe… Brève critique : Ebola Syndrome s'apparente à une suite ou une variation sur The Untold Story, du même Herman Yau, avec le même indispensable Anthony Wong (une grande partie du scénario en est d’ailleurs extrêmement proche). Folie, démesure, inventivité (voir les plans de l’intérieur de la bouche d’Anthony Wong, prête à jeter ses déjections), explosion des limites du politiquement correct (masturbation dans un steak cru, servi aux clients par la suite) et violence (scènes de carnage et de folie totale percutantes à souhait). Un must, un des chef-d’œuvres de la catégorie III extrême ! Note : critiques approfondies du dvd et du film ici. Electrical Girl
Réalisateur : Bowie Lau Bo
Yin. Histoire : une belle jeune femme crée des décharges électriques chaque fois qu’elle a un orgasme et électrocute ses compagnons. Une amie lui conseille de se faire soigner et la présente à son docteur… Brève critique : peu de scènes de sexe, mais beaucoup plus d’humour que dans ce genre de produits. La parfaite comédie érotique ! A voir aussi : Galerie de photos Emotional Girl – Doubt Of Distress aka Emotional Girl
Réalisateur : Chan Wing
Chiu. Histoire : une jeune fille invite son ancienne et dévergondée colocataire d’université à rester quelques jours dans la maison familiale. Elle la pousse alors à séduire son vieux célibataire de père. Brève critique : une comédie poussive avec très peu de sexe. Aucune promesse n’est tenue ! A éviter. Empress Wu
Réalisateur : Jimmy
Leung Chi Ming. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Endless Temptation aka Raging Vendetta
Réalisateur : Chan Ta. Histoire : les amours d’une bande de jeunes gens reliés les uns aux autres par leur femme de ménage. Brève critique : pas visionné. Erotic Ghost Story – Perfect Match
Réalisateur : Lam Yee
Hung. Histoire : un élève moine est chargé de capturer des esprits échappés du jardin céleste et descendus sur terre sous la forme de superbes jeunes femmes. Brève critique : peu de sexe mais un réel soin porté à l’ambiance, la photographie et aux décors. Erotic Ghost Story
Réalisateur : Nam
Lai-Choi. Histoire : un être - on ne sait pas trop qui il est... homme, dieu ou démon ? - débarque au sein d'une famille et fait l'amour avec chacun de ses membres. Brève critique : une vraie catastrophe ! Le scénario est affligeant : un remake hongkongais érotique du magnifique Théorème de Pier Paolo Pasolini… Le tout réalisé par un des plus mauvais metteurs en scène de l’ancienne colonie, Nam Lai-Choi (responsable, entre autres, de Story Of Ricky et The Cat). Le film est lent (premiers événements notables après 45 minutes), les effets spéciaux ridicules (allez voir du côté d’Ed Wood), les scènes érotiques rares, la direction inexistante et les acteurs mauvais en plus d’être laids ! Seul point positif, la présence d’Amy Yip, à la plastique avantageuse. A fuir ! Note : critiques approfondies du dvd et du film ici. Erotic Ghost Story 2
Réalisateur : Peter Ngor
Chi-Kwan. Histoire : un démon viole et tue les quelques vierges que lui fournit régulièrement un village, apeuré à l’idée qu’il les prenne toutes. Brèves critiques : sans conteste le meilleur épisode de la saga fantastique décalquée en mode érotique d'une autre non moins célèbre saga, les Chinese Ghost Story. Seulement là, ce n'est pas Tsui Hark ou Ching Siu-Tung qui sont aux commandes, mais de gentils tâcherons du cinéma bis hongkongais, du pire Nam Lai-Choi au meilleur, Peter Ngor. Les jeunes femmes sont donc plus belles que dans le premier épisode, la mise en scène bien plus soignée, les effets spéciaux sont réussis et parfois carrément gores, les scènes érotiques sont nombreuses, joliment photographiées et inventives, les acteurs jouent correctement - Anthony Wong, pape de la catégorie III en tête, et, surtout, le scénario est excellent. Une histoire d'une noirceur peu commune et réaliste. A coup sûr un classique de la catégorie III ! (DOV) Tout comme Le Syndicat du crime a bouleversé le polar HongKongais en introduisant des dizaines de séquelles plus ou moins pareils, A Chinese Ghost Story de Chi Siu-tung a permis de redynamiser le genre fantastique chinois peuplé de fantômes et autres gourous et mythes. Voici donc une séquelle de la trilogie elle même composée de 3 films. Séquelle quand même un peu éloignée car adressée à un public plus adulte. Érotisme et soft-core sex (nouvelle expression), beautés chinoises et un soupçon de gore pour le troisième qui propose des scènes de cannibalisme. Et bien sûr Anthony Wong, on l'avait presque oublier. (Master Cyco) Note : critiques approfondies du dvd et du film ici. Erotic Journey
Réalisateur : Lau Hok
Fung. Histoire : trois jeunes Hongkongaises sont incarcérées en Thaïlande pour possession de drogue. Elles se retrouvent dans une prison des plus spéciales… Brève critique : l’originalité du film tient dans les décors. On passe des cellules à la jungle thaïlandaise, ce qui nous permet de voir autre chose que les paysages urbains de Hong Kong ou les reconstitutions d’époque. Ceci dit, le scénario n’est pas transcendant et est plutôt prétexte à des scènes de sexe (dont les inévitables douches…), certes non décevantes. Erotic Nightmare
Réalisation : Steve Cheng Wai Man. Histoire : pour résoudre ses problèmes sexuels, un riche homme d’affaires demande de l’aide à un moine doté de pouvoirs magiques. Celui-ci parvient à influencer ses rêves et y fait apparaître une superbe créature sensée satisfaire ses moindres désirs. Le rêve va tourner au cauchemar… Brève critique : un film prévisible, assez bizarrement construit en deux parties sans grand lien… Pour ce qui est de l’aspect érotique, le spectateur sera comblé. En revanche, les amateurs de frisson devront passer leur chemin ! Erotic Nights
Réalisateur : Ho Fan. Histoire : nous suivons les aventure érotiques de trois jeunes femmes souhaitant devenir actrices. Brève critique : pas visionné. Erotic Passion
Distribution : Lily Lee Lee
Lee, Rena Otomo, Takajo Fujimi,
Shum Wai, Sharon Yeung Pan Pan, Liu Chi Tak, Ling Fei Lik. Histoire : vengeances, fantômes et réincarnations sous les Shing. Brève critique : plus comique que réellement érotique. Des décors, des costumes et une ambiance soignés en font un catégorie III presque tout public ! Erotic City
Réalisateur : Chan Shiu On. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Escape From Brothel
Réalisateur : Johnny Wang Lung Wei. Histoire : une jeune femme, pour fuir la pauvreté de son village natal, épouse un riche homme d’affaires. Son mariage bat de l’aile et, sans le sou, elle se trouve contrainte à se prostituer. Parallèlement, son ex-petit ami, mêlé à un braquage de bijouterie qui tourne mal, lui demande l’hospitalité. Il découvre alors avec effroi son moyen d’existence… Brève critique : encore un classique de la catégorie III « extrême » qui n’hésite pas à mêler outrageusement violence graphique (tortures, viols, flots de sang, kung-fu…) et sexe (scènes de douche, copulations…). Le carnage final est à couper le souffle et la scène de kung-fu « naturiste » d’anthologie ! The Eternal Evil Of Asia
Réalisateur : Chin Man
Kei. Histoire : Quatre mâles hongkongais sont poursuivis par le frère d'une jeune femme qu'ils ont violé en Thaïlande et qui s'est donnée la mort une fois la chose achevée. Or, il s'avère que son frère est un sorcier... Brève critique : The Eternal Evil Of Asia, ou le tourisme sexuel contrarié ! Que serait la catégorie III hongkongaise sans ses scénarios complètement débiles, ses scènes gores outrancières (la scène d'ouverture est à ce titre particulièrement glauque...), ses parties de jambes en l'air pas toujours justifiées et son humour potache (voir la scène où Elvis Tsui Kam-Kong, grand maître du genre, se fait transformer la tête en gland – pas le fruit ! -, car ses amis n'arrêtent pas de l'appeler "dickhead") et macabre ? Peu de chose, à vrai dire. Or, tout ceci est réuni dans The Eternal Evil Of Asia : vous n'échapperez à rien !!! Un film culte. Note : critiques approfondies du dvd et plus de photos du film ici et sur Zéni. Evil Instinct
Réalisateur : Jue Wai
Gwong. Histoire : deux collègues et amies travaillent en harmonie dans la même société, jusqu’au jour où l’une est promue. Jalouse, la seconde quitte Hong Kong et a recours à la magie pour assouvir sa vengeance : elle ingère du sang de serpent. De retour, elle se rend compte que c’est du poison qui coule maintenant dans ses veines. Et elle doit tuer pour survivre… Brève critique : pas visionné. Exodus From Afar
Réalisateur : Lam Yee
Hung. Histoire : sur fond de lutte entre les forces du mal et du bien, un touriste hongkongais en vacances à Bangkok s’intéresse de trop près à la magie noire et la sorcellerie. Brève critique : un film fouillis, incohérent, quasi impossible à suivre… Il y a du sexe, certes, mais le manque d’imagination et la platitude de la mise en scène rendent les séquences ennuyeuses. Même les acrobaties sexuelles d’Elvis Tsui Kam-Kong ne relèvent pas le niveau. A Fake Pretty Woman
Réalisateur : Ivan
Lai Gai Ming. Histoire : des chirurgiens opèrent… Brève critique : un film qui ne semble avoir gagné son classement en catégorie III qu’à cause de quelques scènes de chirurgie. A part ça, le film est poussif et peu intéressant. False Lady
Réalisateur : Chan
Lau. Histoire : un homme, décédé dans un accident de vacances, se voit donner une seconde chance et est renvoyé sur terre. Mais comme il a été incinéré, il est réincarné dans le corps d’une superbe femme. Brève critique : un charmant film au ton léger, sans violence ni scènes gores. Le classement en catégorie III est justifié par le nombre de scènes de sexe. Une comédie érotique recommandée. Fatal Love
Réalisateur : Lo Gin. Histoire : une indicatrice de la police est chargée de surveiller un riche et brillant play-boy, soupçonné d'être un tueur en série qui assassine cruellement ses anciennes maîtresses. Elle en tombera amoureuse. Brève critique : La trame de Fatal Love est ultra classique (jusqu'à en être reprise par le très sage et surestimé Love Undercover). Le film dispose d'un casting convaincant. Ellen Chan est superbe et s'en tire avec les honneurs, mais la plus grosse surprise vient de Michael Wong, trop rarement bon acteur. Il faut dire qu'il est intégralement doublé dans ce film et abandonne donc par conséquent son phrasé irritant et son mélange de cantonais et d'anglais. La fin est sans compromis, très étonnante pour un film hongkongais. Brutale (dans tous les sens du terme), elle en surprendra plus d'un ! Un film au suspense assez relatif (on connaît très vite l'identité du tueur), mais qui a le mérite d'être une bonne analyse psychologique du mécanisme du bourreau et de sa plus ou moins consentante victime. Note : critiques approfondies du dvd et du film ici. Fatal Love
Réalisateur : Chow
Cheung. Histoire : pour venger son mari, tué par des malfrats, une jeune femme subit une opération de chirurgie esthétique afin de changer de visage. Elle pourra ainsi enquêter sans être reconnue. Brève critique : un petit polar agrémenté de scènes érotiques (dont les inévitables séquences de douches…). Fatal Rose
Distribution : Wong Wing
Fong, Tong Chun Chung, Charlie
Cho Cha Lee, Cheng Ah Sam, Billy Ching Sau Yat, Chow Chi On. Histoire : pas visionné Brève critique : pas visionné. Fist Of Fury 1991
Réalisateur : Joh Chung
Sing. Chorégraphes des scènes
d’action : Corey
Yuen Kwai, Yuen
Tak. Distribution
: Stephen Chow Sing-Chi,
Kenny Bee, Sharla Cheung Man,
Corey Yuen Kwai, Vincent
Wan Yeung-Ming, Shing
Fui On, Ng Man Tat,
Leung Ga Shu, Wu Fung, Shut
Ma Wa Lung, Baak Man Biu, Tung Chi, Ha Chi Jan, Joh Chung Sing, Hoh Dung, Jeff
Lau Chun-Wai, Tai
Bo, Mai Kei, Chan Ging, Lee
Siu-Kei, Yuen
Tak, Deon Lam Dik-On, Hsu
Hsia. Apparitions
spéciales : Josephine Siao Fong-Fong, Nat Chan Pak Cheung. Histoire :
un jeune homme quitte sa Chine populaire natale pour rejoindre son
cousin installé à Hong Kong. A peine arrivé, il se fait voler son sac
par un petit truand avec lequel il devient finalement ami. N’arrivant
pas à trouver un travail « classique », il décide de se
servir de son « bras d’acier » dans des tournois de kung-fu
afin d’empocher les gains. Mais il lui faut d’abord adhérer à une école
d’arts martiaux… Brève critique : un
film particulier dans la carrière de Stephen Chow car développant peu
son côté comique (ou tout au moins pas autant que dans les productions
habituelles !) mais lui permettant de payer un tribut à son modèle,
Bruce Lee. Les scènes d’action sont nombreuses, plaisantes et chorégraphiées
par des maîtres, Corey Yuen et Yuen Tak. C’est leur violence qui a valu
à Fist Of Fury 1991 sont classement en catégorie III. Flirting Scholar
Réalisateur
: Lee Lik-Chi. Histoire : un homme qui semble tout avoir (gloire, fortune...) est en réalité dépourvu de ce qui lui manque le plus, l’amour. Il jette son dévolu sur une jeune femme et tentera par tous les moyens de la séduire. Brève critique : une grande réussite ! Lee Lik-Chi, Vincent Kok et Stephen Chow s'en sont une nouvelle fois donnés à cœur joie pour nous offrir un mélange d'humour non-sensique, d'absurde, de comique visuel et de belles scènes d'action. Les scènes d'anthologie se succèdent à la vitesse grand V : Natalis Chan utilisé comme pinceau vivant, danse de Gong Li avec les miséreux, rap chinois de Stephen Chow, spot publicitaire anachronique, les « quatre voleurs pervers », le coup de pied qui rend affreux… A noter que le film a été classé en Catégorie III pour sa "vulgarité", ce qui constitue un excellent argument pour sa vision ! Une des plus grandes réussites de Stephen Chow. Note : critiques approfondies du dvd et du film ici. Forbidden Love
Réalisateur : Lam Yee
Hung. Histoire : une reporter enquête sur un producteur de cinéma amateur de femmes innocentes. Elle tombe sous son charme. Brève critique : pas visionné. Fox Ghost
Réalisateur : Tong Man
Hong. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Friday Gigolo
Réalisateur : Stephan Yip Tin
Hang. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Encore un célèbre « film de gigolo » avec l’initiateur du genre, Simon Yam. Fruit Is Ripe
Réalisateur : Chin Man
Kei. Histoire : un ange est envoyé sur terre pour venir en aide à un homme dont la vie sentimentale ne va pas fort. Il n’a jamais osé dire je t’aime à son amie d’enfance qui s’est depuis mariée avec un de ses plus vieux amis. Mais elle n’est pas heureuse… Brève critique : un film charmant, troisième volet de la trilogie Crazy Love (1993), The Fruit Is Swelling et Fruit Is Ripe (1999). Il partage avec ces autres catégories III une bonne humeur, une ambiance insouciante et de nombreuses scènes érotiques (dont les douches…). Pas de violence ici ! The Fruit Is Swelling
Réalisateur :
Lee Siu-Kei. Histoire : une petite fille de huit ans, curieuse des choses du sexe, fait un jour un vœu devant un arbre magique. Elle souhaite être plus vieille afin de sortir avec des garçons, comme sa grande sœur. Son vœu se réalise et elle doit maintenant affronter le monde des adultes… Brève critique : The Fruit Is Swelling est une catégorie III tout ce qu'il y a de plus charmant, un conte fantastique qui mélange Big, pour le thème du passage d'un esprit d'enfant dans un corps d'adulte, et Lolita, pour cet aspect un peu sulfureux d'homme mûr épris d'une jeune fille mineure. Une idée originale dans un catégorie III hongkongais, c'est une petite révolution qu'il faut à tout prix saluer. On retrouve au générique l'inénarrable Elvis Tsui Kam-Kong, pape de la catégorie III, dans le rôle d'un véritable obsédé sexuel qui saute sur tout ce qui bouge : savoureux, même si la prestation d'acteur est limitée... A noter la présence incongrue de Shu Qi qui fait une simple apparition en bikini au début et à la fin du récit pour donner un semblant de morale au film... Un des meilleurs pornos softs réalisés à Hong Kong Note : critiques approfondies du dvd et du film ici. Full Contact
Réalisateur :
Ringo Lam Ling-tung. Histoire : un biker s’acoquine avec une bande de truands menée par un psychopathe homosexuel pour monter un gros coup. Trahi, sadiquement battu et laissé pour mort, il réapparaîtra pour se venger. Brèves critiques : un des films les plus déjantés de Ringo Lam et une collaboration de plus avec Chow Yun-fat (dont c’est une des rares incursions dans la catégorie III). Une œuvre ultra-stylisée, clinquante, vulgaire, rock (écoutez la bande originale), violente, à la lumière très travaillée et au machisme affiché. Chow Yun-Fat y conduit des motos, s’habille de cuir, montre ses tatouages et tire à vue. L’action ne s’arrête quasiment jamais pour le plus grand plaisir des fans. Full Contact est à part dans la filmographie de Ringo Lam ; on est loin du style quasi documentaire de certaines de ses autres œuvres (la série des On Fire, notamment) et on a l’impression d’assister à une grosse farce, une récréation. On regrettera peut-être le ton homophobe du film, surtout après avoir entendu les propos racistes de Simon Yam (bellâtre à l’ego surdimensionné et au QI inversement proportionnel, cf. ses pitoyables interviews). Anthony Wong, pris entre deux acteurs qui en font des tonnes, ne parvient bizarrement pas tout à fait à s’imposer. Il se rattrapera ! (DOV) Premier film réunissant les deux bad boys de Hong-Kong: Simon Yam, monsieur Dr Lamb et Anthony Wong... Wong joue le rôle de l'ami de Chow Yun-Fat, qui en passant est coiffé d'une méchante brosse. Très bon polar de Ringo Lam où l'on retrouve tout ce qu'on aime dans le cinéma de Hong-Kong : beaucoup d'action, de la violence, des gunfights, des flammes, des acteurs charismatiques caricaturaux (Yam en folle de service, il le fait très bien), du nihilisme et un esprit anarchique propre au réalisateur. Nouveau brûlot indispensable dans toute vidéothèque qui se respecte ! (Master Cyco) |
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