Des Films (R) |
Attention aux photos qui risquent de choquer les plus jeunes
Scream
Réalisateur :
Napoleon (!!!). Histoire :
pas visionné. Brève critique : pas visionné. Screwball ‘94
Réalisateur :
Otto Chan Juk Tiu. Histoire : un adolescent désole ses parents à cause de ses obsessions sexuelles. Chaque nuit, il rêve des filles de sa classe et mouille ses draps… Il fait un jour la rencontre d’un fantôme enfermé depuis plus de 400 ans qu’il libère. Va-t-il l’aider à réaliser ses vœux ? Brève critique : une très bonne comédie érotique qui prend pour cible l’adolescence hongkongaise des années 90. Recommandé. Secret Admirer
Distribution :
Tsui Man Wah, Ng Doi Yung,
Phillip Ko
Fei. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Secret Dalliance
Réalisateur :
Stephan Yip Tin Hang. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Secret Lover
Réalisateur :
Cha Chuen Yee. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Sentenced To Hang
Réalisateur
: Johnny Mak Tong-Hung. Histoire : renvoyé de la société pour laquelle il travaillait, un homme, aidé de deux comparses, décide de kidnapper le fils de son ancien patron. La situation leur échappe et ils en viennent à commettre un crime… Brève critique : un film âpre et réaliste, tiré d’une histoire vrai (qui avait déjà inspirée le film Kidnap, 1974, de Cheng Kang), mis en scène par l'auteur du déjà âpre et réaliste Long Arm of the Law. Sa violence lui a d'ailleurs valu le privilège d'être un des premiers films à obtenir la classification en catégorie III (ce qui fait doucement rire lorsqu'on le compare à nombre de films actuels bien plus durs !). A noter la prestation de Tony Leung, étonnant dans un rôle de salaud, et la photographie signée par le grand Herman Yau. Note : critiques approfondies du dvd et du film sur HKC1. Seven Sexual Maniacs
Distribution :
Charlie Cho Cha Lee, Stuart
Ong, Hung Fung, Lee Chung
Ling, Wong Wai Leung,
Poon Tak Chuen, Wan Yin Hung, Au Hoi Ling. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Severely Rape
Réalisateur :
Lam Yee Hung. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Sex And Zen
Réalisateur
: Michael Mak Tong-Kit. Histoire : un jeune homme licencieux décide de se faire greffer un pénis de cheval pour satisfaire son insatiable besoin de chair. Brève critique : l'adaptation réussie du plus célèbre classique de la littérature érotique chinoise (dite de la « Chambre jaune ») écrit par Li Yu, le Rouputan (disponible aux éditions Philippe Picquier sous le titre De la chair à l'extase). C'est indiscutablement le chef d'œuvre du genre bien défini qu'est le cinéma érotique hongkongais : rien de pornographique (de toute façon, c'est formellement interdit à Hong Kong), mais beaucoup de suggestif. Les qualités de Sex And Zen résident donc dans les très belles reconstitutions pour ce qui est des décors et des costumes, la beauté des interprètes féminines (ce n'est pas le cas de tous les films du genre) et l'humour, volontaire ou non. Ce film n'est pas un banal produit de série : il bénéficie, au contraire, d'un budget plus que conséquent, ainsi que d'un producteur et d'un metteur en scène avisés. Un classique. Note : critiques approfondies du dvd et du film ici. Sex And Zen 2
Réalisateur :
Chin Man Kei. Histoire : pour avoir le droit d’aller à l’école, une jeune fille se déguise en garçon. Elle y fait la connaissance d’un élève obsédé sexuel qui, suite à un accident, se fait greffer un pénis mécanique. Dans le même temps, on retrouver des cadavres vidés de toute leur substance... Brève critique : fausse suite de Sex And Zen, mais clin d’œil licencieux au chef-d’œuvre de Tsui Hark, The Lovers. Même s’il n’atteint pas le niveau de qualité du premier opus de la série, ce film se place bien au-dessus du lot des catégories III érotiques. La production est toujours soignée, les actrices très belles (ha, Shu Qi…) et le scénario, qui mêle humour et horreur, solide. Elvis Tsui Kam-Kong en fait comme toujours des tonnes, pour le plus grand plaisir du spectateur (il faut le voir faire ses exercices de musculation sexuelle !!!). Seules les scènes d’action ne sont pas vraiment convaincantes, mais soyons honnêtes, on n’est pas là pour ça. Un agréable petit classique. Sex And Zen 3
Réalisateur :
Aman Chang. Histoire : trois jeunes filles sont vendues à une maison close. Leur premier jour de travail, après avoir été initiées au métier, l’une d’elles tombe amoureuse. Elle envisage de partir avec son nouveau fiancé mais celui-ci est trop pauvre pour la racheter. Brève critique : le troisième et dernier opus de la série Sex And Zen à ce jour est aussi le plus violent. On se rapproche à grand pas des catégories III érotiques « classiques » qui mêlent sexe, torture et violence (Chinese Torture Chamber Story, par exemple, produit par le même Wong Jing). Signe des temps ? En tout cas, le casting féminin est toujours de premier plan et les amateurs d’érotisme seront comblés. Une façon honorable d’achever la trilogie ! Sex And Curse
Réalisateur :
Lam Gam Fung. Histoire : un homme est courtisé par d’innombrables femmes, mais n’a d’yeux que pour une belle masseuse, autrefois quasi victime d’un viol. Son agresseur, décédé, réapparaît sous la forme d’un fantôme pervers. Brève critique : côté érotisme – en qualité et en quantité -, le spectateur est servi ; côté scénario, en revanche, c’est encore une fois la même histoire… un récit qui semble avoir été écrit au jour le jour, au gré des inspirations de chacun ou des disponibilités des actrices. Sex And The Emperor
Réalisateur :
Sherman Wong Jing Wa. Histoire : le jeune Empereur Jing tombe amoureux d’une femme de chambre. Mise au courant, l’Impératrice Douairière Ci Xi la fait renvoyer de la Cité Interdite pour la mettre dans une maison close. L’Empereur partira à sa recherche. Brève critique : la cour de l’Impératrice Douairière revue par la catégorie III érotique. Différentes techniques de plaisir orientales seront décrites au spectateur (boules de dragon, tremblement de terre…), ainsi que quelques méthodes de tortures. Du sexe, de la violence, mais pas d’humour. (voir aussi Zéni) Sex Climax
Réalisateur :
Jeng Kei Ying. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Sex Flower
Distribution :
Guk Fung, Ken Lo
Wai-Kwong, Shum Wai, Ng Siu
Hung. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Sex For Sale
Réalisateur :
Patrick Kong Yeung. Histoire : une policière de Chine continentale débarque à Hong Kong pour y accuser son oncle, à la retraite, d’être le chef d’un réseau de trafique de drogue. Il la fait kidnapper. Brève critique : un film policier violent qui n’hésite pas à user de scènes gores et érotiques. Une vraie série B sans scrupule et sans vergogne ! Distrayant. Sex Memoirs Of A Playboy
Distribution :
Stuart Ong, Charlie Cho Cha
Lee, Yeung Hoi Kei, Cheng Si Ting, Ng Gai Yin,
Au Hoi Ling, Wong Tak Leung. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Sex Racecourse
Réalisateur :
Heung Laap Hang. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Sexual Desire
Réalisateur :
Huang Qing. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. The Sichuan Concubines
Réalisateur :
Ho Fan. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné, mais ce film a une très bonne réputation. Sin Of Flirtation
Réalisateur :
Stephan Yip Tin Hang. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. The Six Devil Women
Réalisateur
: Tony Ma Tin Yiu. Histoire : un gang composé d’hommes et de femmes sévit sur la route qui relie un aéroport à une grande ville. Les femmes séduisent des conducteurs sur les aires d’autoroute et les stations services avant de les tuer. Les hommes se déguisent en policier, arrêtent des voitures et assassinent les passagers. La police commence à retrouver des corps tout au long de l’autoroute… Brève critique : un navet qui ne mérite même pas son classement en catégorie III. Skin Striperess
Réalisateur
: Billy Chan Wui-Ngai. Histoire : une jeune femme, qui devait servir de « remerciement » à un fonctionnaire d’état pour un service rendu à un industriel, est accidentellement électrocutée et défigurée. Pour la soigner, son patron va demander l’aide d’un prêtre taoïste : il faudra tuer une jeune femme, ôter la peau de son visage et la greffer sur la blessée. Le corps de la défunte devra ensuite être enterré selon un rituel précis, près de la mer. S’il venait à être dérangé, son esprit viendrait chercher vengeance ! Or, des adolescents chahutent un jour près de la sépulture… Brève critique : un film dans la lignée des Vendredi 13 américains. Du gore, de la violence et un tout petit peu de sexe. Plutôt réussi dans son genre. Slave Of The Sword
Réalisateur
: Chu Yin Ping. Histoire : après la mort de son père, vieil artiste martial sur le retour, assassiné brutalement un soir, une danseuse est capturée et placée dans une maison close. Brève critique : un film extrêmement confus et difficile à suivre (beaucoup de personnages stéréotypés) qui possède de belles scènes d’action. C’est d’ailleurs un des points forts de Slave Of The Sword : parvenir à mélanger film de sabre et catégorie III sans que l’un ou l’autre de ces genres ne soit ridicule. On notera que costumes et décors ont été « empruntés » au film Butterfly And Sword. Snake Beauty
Réalisateur :
Gap Hak Chung. Histoire : deux sœurs serpents qui aspirent à devenir humaines doivent, pour ce faire, capturer l’âme d’hommes licencieux. Elles se construisent un havre de paix pour les attirer et les tuer. Mais des prêtres taoïstes sont à leur poursuite… Brève critique : l’histoire est basée sur une célèbre légende chinoise qui, outre des opéras, a été à l’origine d’un chef-d’œuvre de Tsui Hark, Green Snake. Ici, c’est le versant érotique du récit qui est développé. A tel point d’ailleurs que, mises à part les scènes de sexe (heureusement très nombreuses), le film n’a aucun intérêt : il paraît long, ennuyeux et vain. The Soft Rod
Réalisateur :
Lau Jun Fai. Histoire : un homme d’affaires en plein divorce est surpris en compagnie de sa secrétaire par le mari de celle-ci. Il s’agissait en fait d’un piège et l’époux volage est kidnappé. Bientôt, une rançon est réclamée à sa future ex-femme qui a de sérieux doutes sur la véracité de cet enlèvement. La police s’en mêle alors... Brève critique : un film ridicule et peu érotique. Spacked Out
Réalisateur :
Lawrence Lau / Ah Mon Histoire : Lawrence Ah Mon aime observer un milieu social donné, sans suivre une intrigue précise, mais en proposant plutôt des tranches de vie. Dans cette optique, Spacked Out s'attache à décrire la jeunesse désœuvrée du Hong Kong d'aujourd'hui. Brève critique de Laurent : En 1987, dans Gangs, le réalisateur avait déjà abordé le sujet, si ce n'est que cette fois-ci, il a choisi de suivre le destin de 4 jeunes filles de 13 à 16 ans. Ce qui frappe dans ce film, c'est son réalisme cru, proche du documentaire. Les quatre actrices sont véritablement très jeunes et jouent remarquablement leurs rôles. Le spectateur découvre une ville de Hong Kong grise et terne où la jeunesse se perd dans l'ennui, la drogue, l'argent et le sexe. Une camera épaule vive, appuyée parfois par des relents de musique actuelle parachève de donner son style au film. On est loin du cinéma d'évasion que l'industrie cinématographique hongkongaise propose d'habitude. Si le film est parfois à l'image des vies de ses héroïnes, c'est à dire morne et monotone, il n'en demeure pas moins l'une des rares réussites du premier semestre 2000. Critique de Florent : Ce qui fait la force de la Milkyway Image, c'est sans doute la diversité des styles cinématographiques qu'elle est capable de présenter au public. Le polar et la comédie étant les deux piliers principaux de cette compagnie, il manquait bien sûr un film documentaire sous forme de tranche de vie. Spacked Out, produit par Johnnie To, peut rentrer dans cette catégorie, et décrit la vie d'une bande d'adolescentes hong-kongaises livrées à elles-mêmes. Et il se trouve que Lawrence Lau Kwok-Cheong a un certain talent pour filmer la vie des jeunes ( campés par des acteurs qui ne semblent pas jouer ! ) dans leurs moments les plus tristes comme dans ceux les plus "heureux". Le réalisateur rassemble en fait tout ce qui fait débat depuis pas mal de temps, concernant le mal être des ados : ils ne pensent qu'à faire la fête, ils n'accordent aucune importance à leurs études, ils changent de copains/copines toutes les semaines, ils se droguent, et la liste est longue. Mais surtout, le film explique cette délinquance au lieu de se contenter de la dénoncer, et se place même en défenseur de ces adolescents en danger : les jeunes filles n'ont aucune présence familiale et aucune personne âgée à qui parler-elles le disent elles-mêmes . L'idée de se pencher sur un groupe de filles est très intéressant, et la caméra filme l'adolescence féminine avec ses rivalités, ses changements d'humeur, ses envies, ses rejets, ses rêves. Spacked Out est classé catégorie 3, mais le désir du réalisateur n'était pas de faire un film formaté choquant et violent gratuitement, juste pour faire classer le métrage catégorie 3. C'est juste que la caméra se permet de s'introduire dans les soirées des jeunes filles, où drogues et violences se côtoient. On pourrait même se croire dans Millennium Mambo d'un certain Hou Hsiao-Hsien. On ne se gêne pas non plus pour montrer une fille se taillader au cutter en pleine classe, ou la plus jeune de la bande se faire avorter ( tout n'est pas montré, mais presque ). C'est étrange, mais des effets horrifiques viennent saupoudrer le film et prendre le spectateur au dépourvu dès la fameuse fête qui tourne au cauchemar. Jugez par vous-même : la fille de 13 ans, enceinte et contrariée, voit des bébés dans un frigo, ou encore est victime d'hallucinations dans l'hôpital où elle se fait avorter. En lisant ça vous ne pouvez pas comprendre si vous n'avez pas vu le film, mais l'effet rendu, avec musique, éclairages et montage à l'appui, est garanti. Au final le spectateur termine le film avec un lourd sentiment pessimiste, et Lawrence Lau gagne son pari haut la main. Pour les photos, cliquez ici. Spell Of The Statue
Réalisateur :
Chan Ta. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Spider Woman
Réalisateur :
Lo Gin Histoire : un policier en pleine procédure de divorce enquête sur de curieux meurtres effectués par une femme. Brève critique : Michael Wong est un piètre acteur et lorsqu’il joue en plus dans un mauvais film, le résultat est à la limite du supportable. C’est bien entendu le cas ici. Et Jade Leung n’est pas là pour rehausser l’ensemble ! The Spirit Of Love
Réalisateur
: Jamie Luk Kim Ming. Histoire : une jeune femme, mannequin dans la publicité, est victime d’atroces visions chaque fois qu’un homme l’approche : des flots de sang se répandent et le fantôme d’un petit enfant apparaît… Brève critique : un mélange raté de gore, de mélodrame (quel rapport entre l’héroïne et le petit garçon ?), de fantastique et de sexe. Bizarrement, la sauce ne prend pas et l’on se surprend assez vite à regarder sa montre. The Story Of Lady Sue
Réalisateur :
Lam Yee Hung. Histoire : un jeune maître guérisseur est jeté sur les routes par son père car un sorcier maléfique a décidé de décimer toute sa famille. Sur son chemin, il soignera gratuitement des patients et viendra au secours de demoiselles en détresse. Mais le sorcier est sur ses traces… Brève critique : encore une variation érotique autour des Chinese Ghost Stories de Ching Siu-Tung. On y retrouve la même ambiance et des personnes assez proches. Les scènes de combat sont chorégraphiées avec un style qui manque souvent aux catégories III. Quant aux séquences érotiques, même si elles arrivent aux trois-quarts du film, sont plutôt réussies. Sympathique. Story Of Ricky (aussi connu sous les titres : Rikki Oh, God Of The Knife, Caged Fury)
Réalisateur
: Nam Lai-Choi. Histoire : le personnage principal, inspiré par le héros de manga Ricky Oh, est un jeune homme aux poings d’acier enfermé en prison pour avoir sauvagement tué l’assassin de sa petite amie. Il n’aura de cesse de faire respecter un semblant de justice dans l’univers carcéral où il est pris au piège, univers corrompu par un directeur de prison sadique, trafiquant de drogue, père d’un « charmant » bambin taré et entouré d’une foule de sbires assoiffés de sang. Ricky se mesurera tout au long du film à ces personnages dans des combats tout droit sortis de jeux électroniques, nombreux, rarement bien filmés, souvent ridicules et très gores. Brève critique : une oeuvre tout bonnement délirante, un film-culte instantané, aussi célèbre aux États-Unis qu’à Hong Kong. Les trucages vous feront rire, mais on ne peut leur enlever une chose : l’inventivité ! Oui, car il fallait oser transcrire en images cinématographiques un poing qui rentre par le menton et qui ressort par le haut du crâne, un garçon totalement dépecé, un homme qui tente d’en étrangler un autre grâce à ses propres intestins... Gore, gore, gore : c’est le maître mot ! Les acteurs. Quels acteurs ? Fan Siu-Wong est nul, vraiment nul. Il faut le voir courir avec sa fiancée (!), un avion modèle réduit dans les mains... Yukari Oshima n’est pas mal, en travestie japonaise sadique. Et puis ne me demandez pas pourquoi Ricky attend la fin du film pour éclater d’un poing le mur de la prison et d’en sortir, je n’en sais rien... Essayez peut-être auprès de Nam Lai-Choi, le Ed Wood hongkongais, qui signe là certainement son meilleur travail. Note : critiques approfondies du dvd et du film sur HKC1Suburb Murder
Réalisateur :
Jeng Kin Ping.
Histoire : un cadavre est retrouvé, atrocement mutilé. Les soupçons se portent aussitôt sur un malfrat. Nous revoyons alors sa vie et les raisons qui l’ont poussé à ce terrible crime au cours d’un long flash-back. Brève critique : un film gore et ultra-violent qui se focalise sur les scènes de viol en bande. Très souvent malsain, il satisfera sûrement les fans de catégorie III « extrêmes ». A Sudden Love
Réalisateur
: Shui Wing Tin. Histoire : une jeune femme décide de fuir les turpitudes de la vie citadine et s’échappe en vacances aux Philippines. Elle y vivra des moments merveilleux et romantiques. Brève critique : pas visionné. The Survival
Réalisateur :
Yiu Tin Hung. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné. Sweet Peach
Réalisateur :
Lau Foo Keung. Histoire : une jeune fille tombe amoureuse d’un homme qui la pousse dans le crime et la prostitution. Brève critique : pas visionné.
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Critiques effectuées par David Olivier |
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