Attention aux photos qui risquent de choquer les plus jeunes
I Love Miss Fox
Réalisateur :
Stephan Yip Tin
Hang. Histoire : un homme découvre un jour que sa femme, bien maquillée et mieux habillée, est tout aussi belle que sa maîtresse. Ils vont cohabiter un temps… Brève critique : une idée de départ amusante et originale, mais malheureusement pas du tout exploitée. Les scènes érotiques sont nombreuses et très réussies.
Réalisateur
: Chan Ta. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné.
Réalisateur
: Ivan Lai Gai-Ming. Histoire : une femme reçoit un beau jour une lettre de sa sœur et, à sa lecture, a un fort pressentiment : elle est persuadée qu’il lui est arrivé quelque chose de grave. Elle décide alors de se rendre là où le courrier a été posté. Par coïncidence, une équipe de télévision va au même endroit pour faire un reportage sur une peuplade indigène pratiquant d’étranges cérémonies. Tous descendent dans un hôtel où des faits inexpliqués et inquiétants surviennent… Brève critique : un mélange de Psycho (recyclage de la grand-mère empaillée et du tueur déguisé) - la plausibilité de l'explication psychiatrique en moins -, de Silence Of The Lambs (une bien étrange cave dans laquelle il fait bon coudre), de La Montagne du Dieu Cannibale (les séquences ridicules avec les sauvages), de Deliverance (encore les sauvages en lieu et place des cajuns), de The Texas Chainsaw Massacre (la fourgonnette, le groupe de jeunes et la maison-hôtel perdue), et d'un tas de séries B et Z. Du reste, The Imp a tout d'une série Z !!! Côté violence, donc, vous serez servis, notamment dans la dernière demi-heure (du grand délire). Mais on est très loin de Daughter Of Darkness : Ivan Lai s'est en effet quelque peu assagi, son spectacle n'est plus aussi réaliste et malsain qu'auparavant. Avant ça, c'est le sexe qui prévaudra. Et c'est d'ailleurs plutôt pas mal fichu ! Si les scènes classiques sont là (douches, viols...), on notera une séquence de bondage qui ravira les plus pervers ! Et puis avez-vous déjà vu un homme déguisé en infirmière abusant sexuellement d'une prisonnière attachée à une table d'opération ? L'actrice principale est, paraît-il, une star du porno soft hongkongais qui, comme Amy Yip, s'évertue à cacher ses meilleures parties ! C'en est très rigolo !!! Mais aucune inquiétude, les autres rachètent amplement son égoïste conduite. Au final, ce film qui s'affichait plus comme un film d'horreur que comme un porno soft, s'en tire mieux par ses séquences érotiques que par ses séquences de terreur, mi-fantastiques mi-violentes, passablement ridicules. Décidément, les films hongkongais ne feront jamais peur. Au mieux, ils feront blêmir d'écœurement. Ce n'est même pas le cas de The Imp. Un film peu recommandable. Note : critiques approfondies du dvd et du film ici.Indecent Woman
Réalisateur :
Lee Siu-Kei. Histoire : lorsqu’elle découvre que son mari veut utiliser ses charmes à des fins financières, une femme décide de l’assassiner. Ne voulant pas en rester là, elle va aussi chercher à tuer l’ancien associé de son époux… Brève critique : pas visionné. Internet Mirage
Réalisateur :
Phillip Ko
Fei. Histoire : un homme d’affaires millionnaire veut s’emparer du brevet d’une invention révolutionnaire, des lunettes qui permettent de faire virtuellement l’amour à des femmes. Seulement, comme il ne veut pas y mettre le prix, il engage un tueur pour l’obtenir de force… Brève critique : encore une fois, on a l’impression que le scénario a été écrit au jour le jour en partant d’un titre… Et à l’arrivée, le film n’a rien à voir avec Internet ! On aurait pu s’attendre à quelques effets spéciaux, étant donné la nature de l’invention (les lunettes), mais le budget est tellement mince que l’on devra s’en passer. Au final, un film ennuyeux…Iron Sister
Réalisateur :
Choi Kwok Fai. Histoire : une jeune fille, dont le petit ami et père de son futur enfant est tué à la guerre, se voit contrainte d’épouser sans amour un homme qui vient de sauver la vie de son père. Un conflit fera éclater la famille quelques années plus tard. Brève critique : Iron Sister est un drame conventionnel et ennuyeux bien plus qu’un film érotique. L’unique scène de sexe est vraisemblablement présente pour racoler des spectateurs sur le seul nom de Shu Qi ! Intruder
Réalisateur : Tsang
Kan-Cheung. Histoire : pour fuir la Chine continentale, une jeune criminelle s’empare des papiers d’identité d’une prostituée qu’elle vient de tuer. Arrivée à Hong Kong, elle retient prisonnier un chauffeur de taxi de longues journées dans sa maison pour préparer l’arrivée de son ami, encore au pays. Un typhon survient et retarde l’arrivée de ce dernier. A sa place, ce sont la mère et la petite fille du pauvre séquestré qui débarquent chez lui… Brève critique de David-Olivier : la Chinastar Entertainment Group, la Win’s Entertainment et la Milkyway s’associent ici pour donner au scénariste vétéran de l’industrie cinématographique Tsang Kan-Cheung (Royal Warriors, Magnificent Warriors…) les moyens de réaliser son premier film. Dans ce polar sombre et aride, le metteur en scène n’hésite pas à utiliser la violence graphique (gore, même) chaque fois que nécessaire, mais sans en abuser : aucune utilisation gratuite et racoleuse, l’image sert et véhicule le propos (notamment dans les séquences terribles de violence contre la fillette, impensables dans nos cinémas occidentaux). Le récit n’est pas sans rappeler celui de Misery, mais certains y verront aussi dépeinte la crainte de la perte d’identité hongkongaise suite au retour de l’ancienne colonie à la Chine. Un catégorie III d’excellent niveau ! Brève
critique de Florent : Intruder,
ou ce fameux film catégorie 3 produit par Johnnie To et sa Milkyway
Image, raison qui m’a d’ailleurs poussé à acheter ce film. Cette
fameuse jaquette vcd qui indique clairement qu’on a affaire à du noir,
à du couteau ( un autre que celui pour couper le Justin Bridou,
croyez-moi les enfants), à du sang, à des meurtres. Je continue dans
cette idée en parlant justement de l’allure que veut donner à tout
prix le réalisateur Tsang Kan-Cheung à son film : la musique dramatique
qui défile presque en continu, les décors choisis - une ville de HK sale
et dépravée - plongés dans une obscurité macabre, les gens de
mauvaises humeur. Car il faut savoir que dans Intruder, il y a
toujours un sale temps, de l’orage, de la pluie, de la grisaille. Le décor
est planté, le ton est donné. Le film débute par un meurtre. C’est
peut être cette démarche qui énerve, ces procédés naïfs auxquels a
recours le réalisateur pour carrément expliquer au public visiblement
stupide, autrement dit nous, qu’il nous livre un film gore/suspens. Il
en découle un contexte rattaché à notre monde, à la réalité,
seulement par la présence d’un milieu urbain et d’êtres humains en
chair et en os (et en sang, très important). De plus l’histoire (basée
sur des faits réels ?), inintéressante, ne donne lieu à aucun, mais
alors aucun rebondissement digne de ce nom, et même si l’on ne
s’ennuie quand même pas totalement, la question « mais que
va-t-il donc se passer ensuite ? » ne vient même pas se poser, étant
donné qu’on connaît déjà la fin du film au début et qu’il ne se
passe rien d’autre que meurtres, enlèvements, meurtres, etc. Jade Stalk
Réalisateur
: Stephan Yip Tin
Hang. Histoire :
pas visionné. Jail House Eros
Réalisateur :
Ha Sau Hin. Histoire : la vie de femmes en prison et des fantômes qui les entourent… Brève critique : un mélange improbable de genres comme savait si bien le faire le cinéma hongkongais. On passe du film de prison (type Prison On Fire ou Women Prison) à la comédie en passant par le fantastique (ce qu’on appelle la « ghost comedy ») sans oublier l’érotisme. Les stars de la catégorie III coquine Loletta Lee et Amy Yip donnent un petit cachet à l’ensemble. Pas génial, mais sympathique. James Wong In Japan And Korea
Réalisateur :
Simon Yip Fai Wong. Histoire : James Wong (un des plus grands compositeurs de musiques de films hongkongais) est le narrateur d’un « voyage sexuel » au Japon et en Corée, avec deux de ses amis. Brève critique : un faux documentaire fauché où les soit-disant intervenants japonais et coréens sont des acteurs chinois. Un film désagréable et inintéressant. Journalist Story
Réalisateur :
Cheung Yan Git. Histoire :
pas visionné. Just Love
Réalisateur :
Lam Yee Hung. Histoire : une femme, qui voyage dans le futur et se retrouve de nos jours à Hong Kong, est poursuivie à travers le temps par un vieux sorcier. Brève critique : un film moyen qui bénéficie cependant d’une mise en scène plutôt soignée pour ce type de produits. Kam Ping Mui Of Deep Throat
Réalisateur :
Aau Muk Cheng. Histoire : un démon exige chaque année d’un petit village la livraison de jeunes vierges pour les déflorer. Or, un beau jour, à court de pucelles, le village lui envoie une jeune femme ayant déjà perdu sa virginité. Furieux de s’être fait flouer, le démon va réagir… Brève critique : pas visionné, mais bonne réputation.The Karma Of Sex
Réalisation :
Stephan Yip Tin Hang. Histoire : plutôt que d’étudier, un jeune homme et un ami passent leur temps à séduire ou violer des jeunes femmes. Un jour, il tombe réellement amoureux mais sa conquête n’est pas du tout intéressée par le sexe. Il se fait donner des cours d’érotisme… Brève critique : un film basé sur un classique de la littérature érotique chinoise, plein d’humour grivois, mais qui ne tient pas ses promesses sur la durée. Les scènes de sexe sont nombreuses mais peu intéressantes. Laboratory Of The Devil aka Men Behind The Sun 2
Réalisateur :
Godfrey Ho Jeung Keung. Histoire : malgré lui, un médecin japonais envoyé en Mandchourie durant la guerre sino-japonaise, devra prendre part à des expérimentation sur des prisonniers de guerre. Brève critique : une suite au classique et nauséeux Men Behind The Sun qui s’avère une tentative mercantile – et ratée (le film fit un bide) - de capitaliser sur le succès de son prédécesseur. Fini l’aspect reportage de l’original qui le rendait insoutenable : on est maintenant dans la pure fiction. Les scènes gores s’amoncellent, comme les corps, et le fan de ce type de films y trouvera son compte. Fortement déconseillé aux âmes sensibles ! Ladies Killer
Distribution :
Carrie Ng Ka-Lai, Rena
Otomo, Tong Chun Chung. Histoire : pas visionné. Brève critique : pas visionné.Lady In Heat
Réalisateur :
Chu Yin Ping. Histoire : trois récits composent le film. Une curieuse cliente teste une baignoire en plein magasin, un couple cherche à se lancer dans l’échangisme, une femme s’avérant être lesbienne est accusée d’avoir assassiné son mari. Brève critique : sur les trois histoires, seule la dernière est capable de retenir l’attention d’un spectateur moyen. Et encore, il s’agit d’un passable remake à la sauce hongkongaise de Basic Instinct ! The Lady Punisher
Distribution :
Tsui Man Wah, Tommy Wong
Kwong-Leung, Gong Hiu Hung, Shing Fui
On, Yue
Chau Heung, Au Ngoi Ling, Chung
Faat, Chan Lau. Histoire : une jeune femme est violée puis tuée. Son amie va chercher à la venger. Brève critique : encore un film qui raconte l’histoire d’un viol puis d’une vengeance… Le budget est serré et les acteurs peu inspirés. On pourra sauver quelques scènes d’action et d’érotisme. A Lamb In Despair
Réalisateur :
Tony Leung Hung-Wah. Histoire : un Hongkongais, tueur en série et arrêté aux États-Unis pour près de 30 meurtres, est relaxé pour faute de preuves. De retour au pays, un groupe de policiers va chercher à l’arrêter tandis qu’un journaliste va tenter de le pousser au crime. Brève critique : outre les scènes de meurtres, le film a l’ambition de décrire les motivations profondes d’un tueur en série : enfance, relations avec ses parents, sa fiancée… Il n’y parvient malheureusement pas et nous propose les stéréotypes les plus communs. (voir aussi Zéni) Lan Kwai Fong Swingers
Réalisateur :
Cheung Chung Chi. Histoire : les histoires d’amour de quatre amis d’université, trois filles et un garçon. Ils décident un jour de réaliser un film érotique amateur… Brève critique : un film fourre-tout qui s’avère être au final fort agréable et très réussi. De nombreuses et belles scènes érotiques, un humour constant : recommandé ! The Legend Of An Erotic Movie Star
Réalisateur :
Siu Bong. Histoire : une superbe femme de Chine continentale quitte son mari pour se lancer dans le cinéma à Hong Kong. Brève critique : l’histoire aurait vite pu déraper dans le tragique, mais le ton reste léger et humoristique. Les scènes érotiques sont nombreuses et bien filmées. Un catégorie III fauché mais très sympathique. Liu Jai Home For The Intimate Ghosts
Réalisation :
Lam Yee Hung. Histoire : un couple de fantômes est constitué d’un homme qui ne pense qu’à courir les filles et sa femme constamment à la recherche d’un mâle qui pourrait, par la force de son pénis, transpercer un sac de grain. Ils sont par ailleurs poursuivis par des exorcistes… Brève critique : encore un film inspiré par la série des Erotic Ghost Story, mais qui a le mérite de figurer parmi les meilleurs. La mise en scène est soignée, tout comme la photographie, les costumes, la musique et l’inventif scénario. De nombreuses scènes érotiques viennent ponctuer ce récit fantastique. Long Hot Summer
Réalisateur :
Wong Yau Sing Histoire :
les aventures de deux publicistes ayant la charge de réaliser
une campagne sur des talons aiguilles. Brève critique : un scénario bâclé, un film bavard (peu de scènes érotiques) et sans invention. Love Birds
Distribution :
Lily Lee Lee Lee. Brève critique : pas visionné. Love Chaser
Réalisateur :
Woo Ga Kan. Histoire : une jeune starlette est encouragée à pénétrer le milieu du cinéma par son avide mère. Elle tombe amoureuse d’un acteur sans savoir qu’il est l’ex-fiancé de sa sœur, poussée dans la prostitution par sa mère. Brève
critique : des acteurs à la limite du ridicule, un scénario
incohérent (les personnages changent de caractère toutes les cinq
minutes…), une photographie laide au possible (pire qu’un téléfilm
de série)… seules les nombreuses scènes érotiques peuvent racheter
l’ensemble aux yeux des amateurs. Love In Blue
Réalisateur :
Lee Chiu Histoire : une femme perd son mari et sa fille dans un accident de voiture. Or, celui-ci avait emprunté une grosse somme d’argent à un prêteur qui va essayer de le récupérer. Brève critique : un bon casting pour un film qui déçoit. Le scénario est archi conventionnel, la réalisation plate, les acteurs peu convaincus et les amateurs de scènes érotiques n’y trouveront certainement pas leur compte. Dommage. Love In Sampan
Réalisateur :
Dik On. Histoire : les malheurs d’une jeune femme et de son amie vis-à-vis de la gente masculine. Brève
critique : un vrai catégorie III ! Plus de la moitié
du film consiste en des scènes érotiques qui satisferont les plus acharnés
des amateurs : en extérieur, en intérieur, sous la douche, entre
femmes, entre homme et femme… plus quelques séquences de torture qui,
si elles ne sont pas du niveau des Untold Story ou autre Red To
Kill, n’en sont pas moins impressionnantes. Pour ce qui est des
acteurs, le mélodrame est très appuyé et il faut avouer qu’ils en
font tous des tonnes. Mais on ne peut pas être gagnant partout ! Un
petit classique. Love Is Over
Réalisateur :
Faan Gung Ming. Histoire :
pas visionné. Brève
critique : pas visionné. Love Nest
Distribution :
Yue Chi Wai, Dennis Tang Yiu Fai, Lily Lee Lee
Lee, Dick Lau Dik Ji. Histoire :
pas visionné. Brève
critique : pas visionné. Love To Kill
Réalisateur :
Billy Chung Siu Hung. Histoire :
affrontement entre un policier et un psychopathe. Brève
critique : Danny Lee et Anthony Wong remettent le couvert
après le succès de The Untold Story, dans une production Kirk
Wong Un film violent qui ne recule pas devant le gore et s’avère, au
final, un assez bon produit de série ! Love Will Tear Us Apart
Réalisateur :
Nelson Yu Lik-Wai. Histoire : chronique de la vie quotidienne de quatre émigrants de Chine continentale fraîchement débarqués à Hong Kong. Brève
critique : ce film d’auteur (une première œuvre) fut
à l’époque présenté au Festival International du Film de Hong Kong
et au Festival International du Film de Cannes. Il décrit la dure
condition de vie des émigrants de Chine continentale et l’effondrement
de leurs rêves de richesse et surtout de bonheur. Love Will Tear Us
Apart bénéficie d’une superbe image et d’un ton qui ne sont pas
sans rappeler, parfois, Wong Kar-Wai. Il n’y a pas réellement
d’histoire (avec un début, un milieu et une fin) car nous suivons les
protagonistes dans leurs tentatives quotidiennes de se construire
socialement. Certains ont vu dans ce film la symbiose entre le cinéma
hongkongais et le cinéma chinois, la naissance d’un nouveau style. Le
classement en catégorie III est dû au traitement des thèmes abordés. Lover Of The Last Empress
Réalisateur :
Andrew Lau Wai-Keung. Histoire :
version érotique des intrigues de palais autour de l’Impératrice
Douairière Ci Xi, sous la dynastie des Qing. Brève
critique : encore un film sur la vie de l’Impératrice
Douairière Ci Xi, mais cette fois-ci sous un aspect un peu plus libertin
et racoleur. Et oui, Wong Jing est à la production, rien ne nous sera
donc épargné : sexe, torture… rien que du bon goût ! Le
film a bénéficié d’un budget plus que confortable et il faut avouer
que le plaisir des yeux est bien présent. C’est assez rare pour un catégorie
III et cela vaut la peine de le noter. Tony Leung Ka-Fai est parfait dans
son rôle, mais quelle idée de faire jouer le rôle de l’Impératrice
Douairière à Chinmy Yau ? Au final, un film assez sympathique. Loving Girl
Réalisateur :
Lam Yee Hung. Histoire : une jeune orpheline est recueillie par son oncle et sa tante, tenanciers d’un bar à prostituées. Elle tombe amoureuse d’un officier de police… Brève
critique : un scénario si mince qu’il abuse des scènes
de douches et de bains, moments clés des catégorie III fauchées !
Les scènes de sexe sont par ailleurs très rares et on sera déçu de
voir Elvis Tsui Kam-Kong dans un film aussi plat (lui qui use et abuse de
l’extravagance). A Lustful Night
Distribution :
Chui Bo Lun. Histoire : après l’amour, le meurtre ; après le meurtre, la vengeance du fantôme ! Brève critique : pas visionné.
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Critiques par David-Olivier |
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