L'encyclopédie
du cinéma HK

Les rédacteurs

 

 Présentation de l'équipe du HKCM2

Depuis quelques années déjà, le  HKCinemagic.com  s'est penché sur ce fabuleux cinéma qu'est celui de Hong Kong. Il a voulu par ses dossiers donner sa vision, ses critiques, ses coups de cœur d'un cinéma bien particulier. Aujourd'hui, nous avons voulu franchir une nouvelle étape. Une étape très ambitieuse puisque nous nous sommes donnés comme objectif de constituer une sorte d'encyclopédie du ciné HK. La base de données que nous allons essayer de construire sera faite de dossiers, de portraits, de photos, de filmographies, d'interviews, et de toutes les autres données qui auront pu être glanées sur le sujet. C'est aussi pour cela que vous allez retrouver des dossiers venant de la database du HKCINEMAGIC. Cette tâche est immense et va prendre quelque temps. Cela ne sera pas parfait immédiatement, mais nous essaierons toujours d'être le plus pédagogique et le plus exhaustif possible. Toutes les remarques seront les bienvenues dans notre forum et notre livre d'or.

Adresses : HKCinemagic.com http://www.hkcinemagic2.fr.st/  &  http://cine-hk.chez.tiscali.fr

Webmaster & rédacteur du   HKC2  : Jean-Louis Ogé

Webmaster adjoint : Stéphane Jaunin

Chef de la rédaction : Laurent Henry

Rédacteurs honoraires : Jean-Louis Ogé, Arnaud Lanuque, Stéphane Jaunin, Philippe Quevillart, David-Olivier Vidouze (le dossier Cat.III et les fiches DVD SB)

Autres Rédacteurs partenaires : Christopher Violet, Louis Collin (alias Guésar), Pablo, Sébastien Babusik,  Florent D'Azevedo (alias Feihong du site Milkyweb), Cédric (alias Jetlo "The Superkicker"), Mathieu Gincré

Conception des pages : Jean-Louis Ogé (avec une aide de la part de Drélium pour la version 2 du site)

Correcteurs : Stéphane Jaunin et Jean-Louis Ogé

Relations Publiques et conseils techniques : Thomas Podvin

Serveur d'accueil : Tiscali

Date de création du site : 2 février 2003.

Date d'ouverture officielle du forum : 17 juin 2003

2004 : Ouverture du HKCinemagic.com

 

 Les rédacteurs réguliers du HKC2

Stéphane Jaunin alias TsimShaTsui : Le petit suisse du HKC2 !Nom : JAUNIN 
Prénom :
Stéphane
Autre nom rencontré sur la toile :
TsimShaTsui
Date de naissance : 19/02/1973
Profession : Juriste
Adresse Email : ici
Signe particulier :
Ne déteste aucun film en provenance de Hong Kong !
Collaboration dans le HKC2 : Portraitiste, correcteur, assistant webmaster

Raisons de vivre : Le cinéma et la musique. Il m’est impossible de placer l’une de ces deux passions avant  l’autre tant elles me paraissent absolument complémentaires. En musique, mes goûts sont extrêmement variés allant de la Shrapnel Records Connection du début années 80 (les adeptes sauront de quoi je parle) à la pop anglaise, de l’électro allemande au psychédélisme des sixties, du Garage au Jazz et du Punk à la Krautrock. Bref, tout ce qui est susceptible de me faire vibrer !! Parmi les artistes que je préfère : Pulp, David Bowie, Radiohead, Miles Davis, Kate Bush, Kraftwerk, Velvet Underground, John Cale, Divine Comedy, XTC, Brian Eno, Sonic Youth, The Beatles, The Kinks, le label Morr Music, Devin Townsend, Jesus and the Mary Chain, Serge Gainsbourg, Brigitte Fontaine, The Swans, Yngwie Malmsteen (si, si !) et des centaines d’autres…

En ce qui concerne le cinéma, ma culture de base s’est essentiellement construite sur le cinéma américain. De cette époque, je retiens les noms et films suivants  : John Carpenter (l’intégrale !), Alfred Hitchcock (Vertigo, Psycho, The Birds, Marnie), Robert Aldrich (Kiss Me Deadly), Billy Wilder (Some Like It Hot, Double Indemnity, Sunset Boulevard), Blake Edwards (Pink Panther Strikes Again, Elle) Howard Hawks (The Big Sleep, Red River, Monkey Business, Gentlemen Prefer Blondes, Rio Bravo) Martin Scorcese (After Hours, King of Comedy, Casino) Brian De Palma (Blow Out, Dressed To Kill, Obsession, Body Double, Phantom of The Paradise), Quentin Tarantino (Pulp Fiction, Jackie Brown) Tim Burton (Batman Returns, Edward Scissorshands, Ed Wood, Mars Attacks, Nightmare Before Christmas) David Cronenberg (Shivers, Rabid, M. Butterfly, Dead Ringers, Crash) David Lynch (Blue Velvet, Sailor And Lula), Joseph L.Mankiewicz (Sleuth, The Ghost And Mrs Muir, The Barefoot Contessa) Woody Allen (Everyone Say I Love You, Mighty Aphrodite,  Sleeper, Broadway Danny Rose, The Purple Rose of Cairo) Joe Dante (Gremlins I et II), Paul Verhoeven (Robocop, Starship Troopers) et Clint Eastwood (là c’est difficile vu que j’adore presque tout).

Le cinéma de Hong Kong et moi : Une rencontre qui a failli ne jamais avoir lieu : Eh oui ! Dire que j’ai failli passer à côté de ce bonheur indescriptible !

Aussi loin que je m’en souvienne, mon premier vrai contact avec le cinéma de Hong Kong remonte à l’année 1993. Certes, j’avais déjà par le passé vu les films de Bruce Lee, mais ceux-ci m’avaient laissé un sentiment très mitigé, voire désagréable, et je préférais de loin le cinéma américain. Bref, cette année-là, je me souviens avoir feuilleté un journal spécialisé dans lequel Martin Scorcese parlait d’un film exceptionnel, réalisé à Hong Kong, par un certain John Woo et baptisé  The Killer. Tout de suite, je me dis qu’il y a là quelque chose à gratter, un nouvel objet cinématographique à me mettre sous les pupilles.  Je me rends à mon vidéoclub, je cherche dans les étagères et, à mon grand désespoir, je ne le trouve pas !! A ce moment-là, j’aurai pu me rabattre sur n’importe quelle production hollywoodienne, mais soudain mon regard est attiré par une pochette sur laquelle est inscrit le nom de John Woo. Certes, il ne s’agit pas de The Killer, mais d’un film prénommé en français Une balle dans la tête.  Presque déçu, je le prends et rentre chez moi pour visionner la chose. Deux heures plus tard, le générique final défile et je suis abasourdi par ce que je viens de découvrir. Jamais je n’avais vu de gunfights aussi stylisés, jamais je n’avais ressenti une telle intensité visuelle et dramatique, le tout orchestré de main de maître . Dans la foulée, je découvre The Killer et A toute épreuve et…Chasse à l’homme. Là, évidemment, c’est une grosse déception, même si je trouve le film rigolo et divertissant. Néanmoins, j’en ai provisoirement fini avec le cinéma de Hong Kong.

Fin 2001, le grand cirque des médias autour du très surestimé Tigre et Dragon bat son plein. Lors d’un talk-show télévisé traitant du sujet, je tombe sur une interview d’un petit bonhomme moustachu qui serait connu pour être le « Spielberg » asiatique, un dénommé Tsui Hark. Pendant l’émission, des extraits de Il était une fois Chine sont diffusés. Mes yeux s’écarquillent, mon cœur s’accélère et je me prends à rêver d’un cinéma où tout deviendrait possible. L’achat de l’objet (merci Jean-Pierre Dionnet !) confirme mes espoirs. Quelques mois après, j’apprends qu’un éditeur répondant au doux nom d’HKVideo va lancer sur le marché DVD une série de films de Hong Kong. Encore dubitatif quant à la réelle qualité de ce cinéma, je décide de louer Zu, les guerriers de la montagne magique et là…j’arrête le film au bout de cinq minutes, excédé par l’enchaînement épileptique des plans et  par un humour que je ne comprends pas encore (il faut dire que j’étais en plein trip cinéma d’auteur). Tout aurait pu s’arrêter à ce moment précis, mais quelques jours après un ami m’appelle, m’apprend qu’il vient d’acheter ce fameux Zu et m’invite chez lui pour que l’on puisse le découvrir ensemble. Je lui fait part de mon scepticisme, mais sans trop savoir pourquoi, j’accepte son offre. Et là, c’est la révélation ! Le rythme est hallucinant, les idées les plus folles s’enchaînent les unes après les autres, les protagonistes usent de pouvoirs surnaturels, volent dans tous les sens, le tout dans un déluge de couleurs que n’aurait pas renié le grand Mario Bava. La vision des bandes-annonces accompagnant le DVD m’achèvera pour le compte.

Quelques jours après, je décide d’en avoir le cœur net et prend le premier avion disponible pour Hong Kong. Arrivé sur place, je me rue dans les magasins de DVD et, à ma grande stupéfaction, je constate que la production cinématographique hongkongaise ne se limite pas à une dizaine de films par année. Les bacs sont remplis de centaines de films ! La main fébrile, je commence mon investigation, observe attentivement les pochettes, chacune éveillant en moi un désir d’achat incontrôlable. Mon séjour s’achève et je suis désormais l’heureux possesseur d’une dizaine de films acquis pour la plupart au hasard le plus total. Parmi ceux-ci figurent Shaolin Soccer, Legend of Zu, Heroic Trio, City On Fire, Prison on Fire, From Beijing With Love, The God of Cookery, The Lovers et A Hero Never Dies. Inutile de vous dire que leur visionnage provoque en moi en sentiment de bonheur indescriptible tant la créativité visuelle et conceptuelle dégagée est intense. Depuis, il ne se passe plus un jour sans que le cinéma de Hong Kong ne vienne hanter mon esprit d’une manière ou d’une autre. Par commandes de 15 à 20 DVD par mois, je tente désormais de combler mon retard avec le secret et utopique objectif de voir tous les films réalisés à ce jour. Et dire que j’ai failli passer à côté de tout cela ! Cela me rend malade rien que d’y penser…

Mes goûts asiatiques :

Parlons d’abord des acteurs et actrices. Au niveau de ces messieurs, mes préférences ne surprendront personne : Chow Yun Fat (le plus grand acteur comique HK de tous les temps), Stephen Chow, Lau Ching Wan, Andy Lau (une présence de plus en plus efficace année après année), Anthony Wong, Simon Yam, Tony Leung Chiu Wai et Tony Leung Ka Fai. Bref, que du beau linge !! Côté actrice, j’avoue avoir quelques peines à faire preuve de toute l’objectivité nécessaire. Au sommet, je placerai sans la moindre hésitation la reine Chingmy Yau. Juste en dessous, la très classe Joey Wang et enfin la magnifique Maggie Cheung pour complèter le trio magique. Certes, loin de moi l’idée  d’oublier les Michelle Yeoh, Brigitte Lin, Moon Lee, Miriam Yeung, Charlene Choi, Ruby Wong, Cynthia Khan et autres Cecilia Cheung. Enfin, mention particulière à la jeune Anya Wu qui pourrait bien, dans un avenir tout proche, se rapprocher de mon top trois.

En ce qui concerne les réalisateurs, je voue un culte dénué de tout discernement à Tsui Hark que je considère largement comme l’un des plus grands cinéastes vivants. Derrière cette locomotive, j’avoue n’avoir jamais été déçu par un Johnny To, réalisateur  dont j’apprécie particulièrement la volonté de se pas cantonner uniquement au polar, mais d’essayer de toucher (le plus souvent avec bonheur) à d’autres genres. En dehors de ces deux grands, nombreux sont les cinéastes qui m’ont émerveillé : Dante Lam, Jeff Lau, John Woo (un autre très grand), Gordan Chan, Riley Yip, Wong Jing (sans lui, le cinéma HK ne serait peut-être pas complètement ce qu’il est), David Lai, Corey Yuen, Yuen Woo Ping, Ching Siu Tung (LE maître de la chorégraphie), Wilson Yip, Sammo Hung et, last but not least, Nam Nai Choi. Cette liste n’est bien entendu pas exhaustive.

Enfin, sans ordre particulier, voici quelques-uns des films HK que j’ai adorés : Legend of Zu, Once Upon a Time In China, The Killer, Chinese Ghost Story, Naked Killer, Naked Weapon, Shaolin Soccer, High Risk, Story of Ricky, Robotrix, Future Cops, Running Out of Time 2, Full Time Killer, A Hero Never Dies , la série des Aces Go Places, My Left Eye See Ghost , The Mission, Bullets In The Head, ainsi que les films du trio Jackie Chan / Sammo Hung / Yuen Biao.

Pour conclure, je dirai qu’à ce jour je n’ai encore jamais été complètement déçu par un film HK. Certes, certains  sont  meilleurs que d’autres, mais tous ont en commun cette volonté de ne pas faire comme ailleurs, de repousser sans cesse les limites du genre, d’oser raconter et montrer les idées les plus folles. J’ai encore beaucoup de chose à découvrir, mais j’ai déjà acquis la certitude que le cinéma de Hong Kong sera toujours différent des autres cinémas…


Philippe Quevillart alias Iron Monkey alias Uncle PhilNom : QUEVILLART
Prénom :
Philippe
Alias : Iron Monkey - Uncle Phil
Date de Naissance : 27 Août 1967
Profession : Chef de triade comme Ekin
Taille : 1, 76 m
Poids : 76 kg
Situation familiale : Marié, 1 enfant, bientôt 2…
Adresse e-mail : phedan@wanadoo.fr
Passions :
Le cinéma, le cinéma et le cinéma.
Collaboration dans le HKC2 : La Shaw Brothers (portraits + critiques), le polar et Tsui Hark

Les origines : Ma grande passion pour le cinéma asiatique, et plus particulièrement le cinéma hongkongais, est véritablement née avec l’avènement de John Woo, la découverte de The Killer fût pour moi un véritable choc. Il y eut aussi la découverte sur Canal Plus du magnifique Chinese Ghost Story de Ching Siu-tung, rarement un film ne m’avait autant enthousiasmé, j’ai dû le revoir une bonne vingtaine de fois… Bien sûr, avant cela j’avais déjà eu quelques contacts avec ce cinéma par l’entremise des Bruce Lee et des Shaolin Movies exploitaient dans nos salles au début des années 80. Un film comme Heroes Of The East (Shaolin contre Ninja chez nous) ou 18 Bronzemen (sorti sous le titre de Shaolin et les 18 hommes de bronze) m’avaient déjà profondément marqué. Le côté négatif se trouvait dans l’exploitation que faisait les éditeurs de ces petits joyaux, des titres frôlant le ridicule, un racisme très prononcé. La France se délectait des « perles » de Max Pécas ou de Philippe Clair, alors nos chers distributeurs croyaient voir du Z dans toutes productions asiatiques. C’est là que l’on peut prendre conscience de l’énorme bouleversement qu’a pu provoquer l’édition des films de l’éditeur HK VIDEO. Enfin on pouvait voir nos chers films dans des copies nickel, dans leur version d’origine et sous-titrées en français : que du bonheur quoi… Depuis, le net est arrivé, le 13ème me permet de faire mes emplettes de temps à autres, alors je dépense des fortunes dans des films parfois nuls, mais j’aime ça…

Mes réalisateurs favoris : A Hong-Kong, c’est Tsui Hark, Ringo Lam, John Woo et Samo Hung, mais j’adore également des cinéastes comme King Hu, Chang Cheh ou Chu Yuan. Grand passionné de cinéma japonais également, j’apprécie particulièrement un cinéaste comme Takeshi Kitano, mais également des réalisateurs marginaux comme Takashi Miike ou Takashi Ishii. Sinon dans les anciens, Akira Kurosawa, Masaki Kobayashi (son hara-kiri est mon film de chevet !), Kinji Fukasaku et l’immense Seijun Suzuki. Je suis également un passionné du cinéma américain d'après-guerre, les John Ford, Howard Hawks et John Huston. Stanley Kubrick et Martin Scorsese sont deux cinéastes que j’apprécie particulièrement. J’ai également une grande passion pour le cinéma d’exploitation italien, dit « bis ». Alors je citerai des réalisateurs comme Dario Argento, le spécialiste du « giallo », Lucio Fulci, le maître de l’horreur macabre, Sergio Corbucci le maître du western morbide (Django est un véritable chef d’œuvre), Sergio Sollima, le récemment disparu Antonio Margheriti, Enzo G.Castellari, Ruggéro Déodato, etc… Sans oublier Il Maestro, l’immense Mario Bava, inspirateur universel. Les genres que j’apprécie le plus : le giallo, le western, les films d’horreur gore.

Mes interprètes favoris : Commençons d’abord par les dames, alors bien sûr je craque aisément devant une Joey Wong ou une Maggie Cheung, mais mon idéal d’actrice se dessine sous les traits de la ravissante Brigitte Lin. Christy Chung me fait craquer… 
Chez les hommes, j’adore Tony Leung Chiu-wai et Leslie Cheung, mais ça, c’est ne pas se fouler, je l’avoue. A part ça je citerai Chen Kuan Tai, Frankie Chan, Eric Tsang et Norman Chu, de grands acteurs trop souvent ignorés. A part ça je voue un culte à Big Samo, grand acteur torturé.

Mes films favoris : The Killer de John Woo est mon film HK favori, suivent The Blade et OUATIC de Tsui Hark, Full Alert de Ringo Lam et Boxer From Shantung de Chang Cheh et Pao Hsueh-Li. J’adore les productions Shaw Brothers, en particulier les films de Chang Cheh et de Liu Chia-Liang. Quelques films coup de cœur : A Touch Of Zen de King Hu, Made In HK de Fruit Chan, Encounter Of The Spooky Kind 2 de Ricky Lau et Fallen Angels de Wong Kar Wai… mais il y en a tant d’autres.

Hors Asie mes films cultes sont : Phantom Of The Paradise de Brian De Palma, Raging Bull de Martin Scorsese et The Thing de John Carpenter.

La Musique : J’aime la guitare, j’aime donc les grands guitar heroes : Neil Young, Frank Zappa, Mark Knopfler et plus récemment Pearl Jam. Sinon, ça va du classique, au rock alternatif en passant par la chanson française à texte (Brel, Brassens, Aznavour…). J’aime les grands compositeurs de Bandes Originales, alors bien sûr James Wong et Raymond Wong pour Hong Kong, mais également Joe Hisaishi pour le Japon. Mais le plus grand compositeur de musique de films au monde est pour moi Ennio Morriconne.


La petite Louise dans les bras de son papaNom : OGé 
Prénom :
Jean-Louis
Autre nom rencontré sur la toile :
J-L
Date de naissance : 24/09/1966
(Age mental : inconnu)
Profession : Enseignant
Caractéristiques techniques :
- Taille : 1,87 m (debout) 47 cm (roulé en boule)
- Poids : 70 kg (tout mouillé)
- Yeux : 2 (marrons noisette)
- Groupe sanguin : AB négatif
Situation maritale :
marié, une femme (je précise quand même) : Annick, 3 petites filles : Emeline, Perrine et Louise)

Adresse E-Mail : ici
Signe particulier :
Unique membre du fan club français de Bobby Yip (acteur HK haut en couleurs)
Collaboration dans le HKC2 : Webmaster, portraitiste, divers dossiers (cascadeurs de Jackie Chan, le guide du fantastique, le lexique du ciné HK et de la culture chinoise), le guide HK...

Hobbies :
- la musique : cela allait (je parle au passé car je n'écoute quasiment plus de musique depuis que le net accapare mon temps libre) du classique à la techno en passant par la new-wave (Dépêche Mode, Anne Clark, In the Nursery, New Order...), la pop. anglaise (Erasure, O.M.D., Matt Bianco, Swing Out Sisters, Prefab Sprout ...), la pop. hong kongaise (Sally Yeh, Jackie Chan, Jackie Cheung, Andy Lau...), l'électro-buddy music (Front 242, A Split Second, Borghesia, Neon Judgement...), le new-age (Krafwerk, Art of Noise, René Aubry, Kitaro ...) les chansons de Bobby Lapointe (le roi du calembour, de l'à peu près, du jeu de mots dont je suis très friand), les bandes originales de films (aussi bien chinoises (OUATIC, Drunken Master 2, Green Snake, Histoires de Fantômes Chinois, The Lovers, Tai Chi Master, Phantom's Lover, Swordsman...), japonaises (Joe Hisashi, Kitaro) qu'américaines (James Horner, Randy Edelman, John Barry, John Williams, Danny Elfman...).
- Le cinéma américain : comme le reste, j'ai des goûts très éclectiques : j'adore l'humour des ZAZ (de Top Secret aux Y-a-t-il ...), de Mel Brooks (je connais par coeur La Folle Histoire de l'Espace), de Peter Jackson (quel choc à la 1° vision de Bad Taste), la caméra virevoltante de Sam Raimi...Je prends aussi mon pied quand j'en prends plein les yeux et les oreilles : ils sont forts quand même ces amerloques quand il s'agit de faire tout péter, d'utiliser des effets spéciaux complètement déments, de filmer des courses poursuites de bagnoles à 200 à l'heure dans les rues des plus grosses villes du pays : rien à redire quand ils nous font Star Wars, Indiana Jones, Terminator, Predator, Die Hard, The Rock, Starship Troopers, Chantons sous la pluie, L'Arme fatale, My Fair Lady, (non non, ce n'est pas une erreur car j'ai failli oublier de dire que j'adore les vieilles comédies musicales, un peu comme John Woo (précision : j'aimais aussi avant de le connaître)). Les comédies sentimentales intelligentes me branchent aussi comme Harry rencontre Sally, 4 Mariages 1 Enterrement, Mary à Tout Prix ...
- Le cinéma français : que vais-je bien pouvoir dire à propos de ce cinéma ??? Ah oui, je suis fan de Louis de Funès, Lino Ventura, Bernard Blier, Georges Lautner (à l'époque des Tontons Flingueurs, des Barbouzes et de Ne nous Fâchons pas ! qui restent quand même des monuments). Bon je ne disserterai pas sur le nouveau french cinéma (Luc Besson, Caro et Jeunet, Christophe Gans, Jan Kounen, Albert Dupontel...)

Mes films cultes : Les Aventures de Jack Burton dans les Griffes du Mandarin (qui est à l'origine de ma passion pour les films new-wave de HK encore invisibles à l'époque pour les provinciaux comme votre serviteur), La Folle Journée de Ferris Bueller (le frère spirituel de Parker Lewis), Edward aux Mains d'Argent et Babe (je verse une larme à chaque que je les regarde), De l'Or pour les Braves (Clint Eastwood et Donald Sutherland sont merveilleux en soldats débrouillards), Ne nous Fâchons Pas ! (j'adore le ton désinvolte du film, Lino Ventura qui est ici impérial, et Jean Lefebvre aussi bon que la musique), True Romance (dans lequel on pouvait entr'apercevoir pour la 1° fois des passages du Syndicat du crime), Jason et les Argonautes (un des meilleurs films d'aventures fantastiques co-réalisé par Ray Harry Hausen). Cette liste n'est bien sûr pas exhaustive, mais ceci déborderait de notre propos.

Maintenant, parlons un peu de mes goûts asiatiques : j'adore surtout les films de sabres complètement déjantés (style Swordsman), les kung-fu new-wave (style Once Upon a Time in China), les polars à la John Woo (Hardboiled), et ........... les comédies cantonaises non-sensiques de Chow Sing Chi (j'ai déjà fait un mini dossier sur lui). En plus, il faut bien que je t'avoue que j'adore l'un des films les plus débile qui existe : Dong Cheng Xi Jiu (Eagle Shooting Heroes) : reprenant la même nouvelle que Ashes of Time (d'ailleurs le scénario est également de Wong Kar-Wai !!) cette parodie possède les mêmes acteurs que son modèle, mais cette fois-ci, ils sont tous complètement déjantés. Jeff Lau y mêle tout ce que son esprit tordu peut imaginer (et vous pouvais me croire, il est vraiment atteint l'animal !!). 

Mes acteurs préférés sont : Jet Li, Chow Yun Fat (bien entendu), Stephen Chow Sing Chi, Jackie Chan le Magnifique et j'ai un petit faible pour Elvis Tsui Kam Kong (le teinturier de Sex an Zen) et Ng Man Tat (le side-kick de Stephen Chow Sing Chi) (entre-autres). Mes actrices préférées sont bien sûr Lin Ching Hsia, Maggie Cheung, mais j'avoue avoir des palpitations quand je vois Michelle Reis (ou Lee si tu veux), Cheung Man, Christy Chung ou Chingamy Yau (bien évidemment, la liste n'est pas complète)

1966-1985 : Les origines de mes goûts asiatiques
Comme le dit si bien Smaïn, je suis de religion cathodique, bercé nonchalamment par
l’Ile aux Enfants durant ma prime jeunesse, je fus soudainement réveillé par une série qui faisait fureur le samedi en fin d’après-midi sur Antenne 2 : San Ku Kai. C’était la révélation chez cet adolescent pré-pubaire qui venait de découvrir les joies de ces programmes venant d’Asie. Ce fut ensuite l’avènement de Dorothée (paix à son âme) : la course après l’école pour ne pas rater le dernier épisode de Goldorak, Albator, Cobra, et Candy (nul n’est parfait). Sur FR3, on ne ratait aucun morceaux d’Edgar de La Cambriole (Lupin), Capitaine Flam ... Bref, la douce époque des Barpapas, de Gribouille, d’Antivol l’oiseau au sol, d’1 Rue Sésame, des doux Visiteurs du Mercredi, l’Autobus à Impériale, SuperBug, Les Sentinelles de l’Air était révolue. Place enfin à l’action débridée (sans jeu de mots).
Mais quand je repense, avec nostalgie, à ce merveilleux temps de l’innocence perdue, une image un peu plus forte que les autres me revient à l’esprit : celle qui provient de samedis soirs sur TF1 en deuxième partie de soirée (après les imperturbables variétés de l’époque) où l’on pouvait voir des feuilletons comme
Le Riche et le Pauvre, Payton Place mais surtout La Légende des Chevaliers aux 108 Etoiles. Jamais rediffusée, cette fantastique saga nippone narre les aventures de Lin Chung, un chinois renégat vivant durant la dynastie Sung (il y a plus de 1000 ans). Avec l’aide de compagnons rencontrés aux fils des ses errances, il essaiera de se disculper vis à vis d’un gouvernement cruel et corrompu. Tout au long des 26 épisodes, les combats à la main et au sabre se succédaient. Les personnages hauts en couleurs avait chacun leur technique de combat, parfois surnaturel comme  « l’homme qui court plus que le vent » (le Steeve Austin chinois), l’homme à la hache ... Un peu à la manière de Robin des Bois (pour l’histoire) et de San Ku Kai (pour les combats), on ne pouvait pas rater la suite de ces chevaliers fantastiques. Impossible à revoir en VF, j’ai dû me résigner à les retrouver dernièrement en version anglaise grâce la sortie vidéo de l’intégral de la série chez nos amis Grands-Bretons sous le titre original « The Water Margin ». Bon, ça a pas mal vieilli, mais ça fait du bien de réentendre la musique du générique, de voir que finalement et au bout du compte, c’était vachement bien pour l’époque.

1986-1993 : Les débuts de ma passion cinéphilique 
Déjà accroc aux combats délirants de
San Ku Kai et des Chevaliers ..., je tombais sur le cul à la première vision des Aventures de Jack Burton dans les Griffes du Mandarin : tout ce dont j’avais rêvé et que je n’aurais jamais osé espérer était devant moi : les légendes chinoises, des héros dotés de pouvoirs surhumains ne connaissant pas les lois de la gravité, des combats fantastiques, des effets vraiment spéciaux ... le panard de la décennie !!!
Tout ceci se passait en 1986 et je n’avais pas la moindre idée de l’existence de réalisateur comme Tsui Hark, Ching Siu Tung ... Mais heureusement que le festival d’Avoriaz venait de faire découvrir en 1988 un petit film qui allait vite devenir culte pour moi (et pour bien d’autres fans) :
Histoires de Fantômes Chinois. 4° choc : après avoir entr’aperçu la bande annonce au Journal du Cinéma de Canal Plus, c’était décidé : il fallait à tout prix voir ce chef d’oeuvre en puissance. Bien évidemment, toutes mes espérances furent immédiatement comblées et ce fut à ce moment là une véritable révélation : c’était ce genre de cinéma qu’il me fallait.
Après mon service militaire, j’achetais alors mon premier magnétoscope et je me décidais à écumer tous les vidéoclubs de la région à la recherche de tous les films de HK disponibles. Bien évidemment, la tache fut ardue : seuls des Bruce Lee, des Jackie Chan étaient vraiment connus à l’époque. Heureusement que les Butterfly Warriors (futurs HK Orient Extrême Cinéma), IMPACT, l’Ecran Fantastique, Les Griffes du Cinéphages... étaient tous là pour me guider spirituellement. En ce qui concerne les petits polars nerveux (John Woo n’était alors qu’un inconnu pour moi), un petit article paru dans Karaté Bushido m’avait fortement éclairé sur les disponibilités vidéos : il reprenait les meilleurs films de femmes balèzes et donnait les références et leur avis. S’inspirant de lui, j’ai même décidé de vous concocter ma propre liste de ces films parfois oubliés (quelquefois à juste titre) => cf. « A la Recherche des Vieux Trésors Perdus ».

1994-1995 : Une passion dévorante, une soif inassouvie
Rapidement, j’étais enfermé dans un carcan hexagonal : pas moyen de découvrir tous les chefs d’oeuvre dont me parlaient Julien Carbon, David Martinez, Patrick Nadjar, Marc Toullec (tous ces parisiens qui peuvent s’approvisionner à volonté dans leur China-town). Le bouquet, c’est quand j’ai découvert pour la première fois (toujours au Journal du Cinéma qui illustrait la rétrospective HK à la cinémathèque de Paris en 93) un extrait de
Once Upon a Time in China (le passage où Jet Lee se bat sous la pluie à coup de tronc d’arbre virevoltant dans les airs sans toucher le sol). Tout ce que j’avais pu voir avant était balayé par tant de maestria dans la mise en scène et dans la photo : je devais coûte que coûte me les procurer. Je passe donc une petite annonce en 94 pour savoir si je n’étais pas seul au monde. C’est à partir de ce moment là que j’ai véritablement commencé à devenir un collectionneur fou du ciné HK : je me procure toutes les vidéos et les fanzines d’Eastern Heroes, les superbes cassettes de Made in Hong Kong (le HK Vidéo british), je me fais transcoder les lasers du 13° arrondissement, j’achète les CD des B.O.F. à Musica, je m’informe grâce aux bouquins disponibles (The Essential Guide to Deadly China Dolls - The Essential Guide to Hong Kong Movies - The Essential Guide to the Best of Eastern Heroes - Asian Trash Cinema : The Book (Part 1 & 2) - Sex and Zen & Bullet in the Head (The Essential Guide to Hong Kong Mind-bending Films)- un recueil d’affiches de films (venant directement de HK) - le fanzine Hong Kong Film Connection (Vol. III Issue I + II + Vol IV Issue II) - quelques SHE, Oriental Cinema - tous les HK Orient Extrême Cinéma - le spécial Asie du Cinéphage et le n° spécial HK des Cahiers du Cinéma - tous les articles parus dans Impact, Mad Movies, l’Ecran fantastique, le Cinéphage ... - le gros bouquin Ciné Kung Fu (des frères Armanet))...

Les jours passent et ...nouveau choc : la découverte d’Hard Boiled au ciné : ce fut la première (et la dernière) fois que j’allais voir un film deux fois en deux jours (j’ai eu certainement peur d’avoir loupé un cadavre dans un coin). Idem pour la 1° rétrospective de notre maître vénéré John Woo au Métropole de Lille du 5 au 18 janvier 1994 : hallucinant !!! Idem pour l’hommage donné à Tsui Hark lors du 8° festival de Valenciennes en mars 97 !!! Le pied intégrale en somme. Et maintenant, les Butterfly Warriors prennent leur envol vers des cieux bénis des Dieux, leur magazine est ce qui se fait de mieux dans le genre, des chefs d’oeuvre sont enfin accessibles à un public normal, les réalisateurs de HK sont enfin reconnus en France et aux U.S.A., MATRIX et Yuen Wo Ping (le directeur des combats) va révolutionner le genre ... Bref, que du bon à venir.

1996-199? : la reconnaissance du ciné HK
Finalement, cette quête allait aboutir à la rencontre de Master Cyco et de quelques autres comme Jacques, lors du Festival de Valenciennes qui proposa une rétrospective Tsui Hark. C'est aussi à ce moment là qu'un petit magazine de cinéma allait naître et qu'il allait rapidement devenir la référence ultime du cinéma made in Hong Kong : j'ai bien sûr nommé
HK ORIENT EXTREME CINEMA. Tout allait vite s'enchaîner, Grégory alias Master Cyco; me proposa dernièrement de faire partie d’une bande de joyeux loustics (voir la rubrique "la rédaction") qui venait d’inaugurer un nouveau site sur le WEB consacré au cinéma de HK.

Comment refuser une telle offre qui rapidement aller faire partager ma passion avec des millions d’internautes ? C’était tout bonnement impossible et me voilà donc maintenant assis devant mon PC en train de vous raconter ma vie. Au bout du compte, même si ma période manga est bien finie (j’attends cependant avec impatience la sortie nationale (toujours retardée) du magnifique Princesse Mononoke (que j’ai eu la chance de voir sur grand écran lors de l’avant dernier festival de Valenciennes)), je reste donc fidèle (et plus que jamais) au monde fabuleux du cinéma de HK. Jean-Louis (septembre 99)

2000-200? : Un aboutissement ?
Tigre & Dragon est succès planétaire, les oeuvres de Myasaki sont enfin visibles, Johnnie To se paie un beau succès d'estime en France, Shaolin Soccer est même apparu sur nos écrans... On ne peut plus se passer d'un chorégraphe hongkongais pour le moindre film d'action hollywoodien... Bref, l'Asie est enfin reconnue à sa juste valeur. Le web n'est pas en reste et les sites fleurissent, la qualité médiocre d'antan a fait place à des sites conçus par des passionnés de plus en plus nombreux et qui connaissent le sujet. Aujourd'hui, janvier 2003, une nouvelle étape est franchie : un nouveau portail est créé qui a pour but de mieux encore expliquer le cinéma hongkongais, de mieux faire connaître tous ses protagonistes. J'espère de tout cœur que vous y trouverez votre bonheur et que l'on aura éclairer un peu plus votre lanterne. A plus. Jean-Louis (janvier 2003)


Arnaud et Athéna Chu.... cherchez l'erreur !Nom : LANUQUE 
Prénom :
Arnaud
Autre nom rencontré sur la toile :
Palplathune
Date de naissance : 1978
Profession : Etudiant en droit
Adresse Email : ici
Autre site où j'officie : wagoo
Collaboration dans le HKC2 :
Interviewer, portraitiste (surtout la partie "Gweilos")

Tel est ton destin ! (Darth Vader)
Avertissement pour les parents qui me lisent : Ne laisser jamais votre enfant devant un film de Hong Kong ! C’est l’erreur que commirent mes parents en me laissant regarder sur l’ex 5 le dégénéré Le Roi du Kung Fu Attaque. Forcément, un film où le héros perd son bras, se brûlent les nerfs de la main comme technique secrète de kung fu ( ! ) et où les lamas tibétains se gonflent comme des baudruches ne peut que laisser une forte impression sur le jeune enfant de 8 ans que j’étais. Les premiers germes étaient plantés, ils écloront 10 ans plus tard pour ne plus jamais me quitter.
Pendant les 10 ans qui suivront je continuerai ma formation cinéphilique d’abord par des grands films populaires souvent fantastiques (les Harryhausen, les péplums Italiens, les films de la Hammer…) puis en découvrant les auteurs incontournables (Kubrick, Hitchcock, Truffaut…). Le cinéma de Hong Kong ne sera pas oublié mais demeurera en hibernation faute de véritable déclencheur (Bruce Lee ne m’a jamais beaucoup fasciné).
Les choses vont commencer à évoluer avec la lecture dans l’incontournable Mad Movies des non moins incontournables articles de Julien Carbon. Son enthousiasme se fera vite contagieux et commencera à influencer mes recherches en vidéo clubs. Le virus commençait à se développer… La parution du HK Mag consacrera définitivement la passion. Quasiment chacune de leurs sorties VHS se retrouvera dans ma collection. Mais cela n’est pas encore suffisant pour ma soif de découvertes et je me mets parallèlement à hanter les brocantes et autres déstockages de vidéos clubs à la recherche des petites perles qui auraient pu m’échapper (merci Kara Films et les autres). A cela il faut aussi rajouter les VHS Australiennes trouvés à Album lors des rares passages sur Paris (et qui mettront mon budget à mal) ainsi que les co-achats avec un ami Nancéen de DVDs HK qu’il me transférera en VHS (la vie est rude quand on a qu’un magnétoscope).
L’investissement dans un bel ordinateur pourvu d’un lecteur DVDrom (joie !) et l’accès à Internet me permettront d’assouvir encore davantage ma passion et me rendre compte que je n’étais pas la seule personne atteinte de ce virus en France.
Enfin, véritable aboutissement à mes yeux, j’eus l’occasion de partir à Hong Kong en 2001. Une découverte qui ne fait que renforcer mon intérêt pour le cinéma local et m’ouvre de nouveaux horizons dans mon exploration de la culture locale.

Acteurs favoris :  
Au niveau féminin je voue un culte contre nature envers Athena Chu, elle a joué dans plus d’un nanar mais je continue à la soutenir !
Il y en a évidemment bien d’autres : Cheng Pei Pei (quel charisme !), Carina Lau (une des meilleur actrice HK en activité), l’incontournable Brigitte Lin Ching Hsia, Kelly Chen et Josie Ho pour les petites nouvelles et toutes les « action women » comme Moon Lee, Yukari Oshima…
Au niveau masculin j’ai une grande affection pour tous les second couteaux en activité à HK : Ng Man Tat, Lau Kar Wing, Eric Tsang, Vincent Kok, Lam Suet… De même je vénère le petit groupe d’acteurs connus sous le nom de « super kickers » : Wang Tang Lee, Wong Ing Sik, Ken Lo…
Dans les acteurs plus connus je peux citer des incontournables comme Stephen Chow, Tony Leung Chiu Wai, Ti Lung,  Daniel Wu (dans les nouveaux), Yuen Biao et encore bien d’autres que je n’ai pas le courage de lister.

Films favoris : 
God of Cookery
: Un sommet du style Chow et une éclate assuré à chaque fois que je le vois.
Peking Opera Blues 
: Chef d’œuvre absolu de Hark touchant à tous les styles avec une maîtrise hallucinante.
A Better Tomorow : A mes yeux le meilleur Woo, empreint d’une forte émotion dans chaque plan.
Swordsman 2 : Un des meilleur Wu Xia, bourré d’énergie et de style.
Pedicab Driver : Le style Samo a son paroxysme.
All About Ah Long : Un drame touchant et un Chow Yun Fat excellent.
The Big Heat : Un polar hardcore, la vision noire de Hong Kong.
Lost and Found : Une romance teintée de drame particulièrement réussie, d’ailleurs même Michael Wong y est bon, c’est dire !
 
School On Fire : Du Lam sans concession et prenant du début jusqu’à la fin.
Chungking Express : Des acteurs au top et une bonne retranscription de l’énergie propre à l’ex colonie.

Evidemment il y a encore bien d’autres à citer mais cela deviendrait vite fastidieux a lire alors on va en rester là.

Cinéma hors Asie :
Mes réalisateurs cultes sont Kubrick, Kurosawa et Lynch. Aucun déchet chez eux à mes yeux.
Ensuite ceux que j’aime beaucoup sont nombreux : Argento, Clouzot, les Monthy Pythons, Fukasaku, Burton, Oshii, Tavernier, Lang, Fischer…

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