Nom :
JAUNIN
Prénom : Stéphane
Autre nom
rencontré sur la toile : TsimShaTsui
Date de
naissance : 19/02/1973
Profession :
Juriste
Adresse Email : ici
Signe
particulier : Ne déteste aucun film en provenance de Hong
Kong !
Collaboration dans le HKC2 :
Portraitiste, correcteur, assistant webmaster
Raisons de vivre :
Le cinéma et la musique. Il m’est impossible
de placer l’une de ces deux passions avant
l’autre tant elles me paraissent absolument complémentaires. En
musique, mes goûts sont extrêmement variés allant de la Shrapnel
Records Connection du début années 80 (les adeptes sauront de quoi je
parle) à la pop anglaise, de l’électro allemande au psychédélisme
des sixties, du Garage au Jazz et du Punk à la Krautrock. Bref, tout ce
qui est susceptible de me faire vibrer !! Parmi les artistes que je
préfère : Pulp, David Bowie, Radiohead, Miles Davis, Kate Bush,
Kraftwerk, Velvet Underground, John Cale, Divine Comedy, XTC, Brian Eno,
Sonic Youth, The Beatles, The Kinks, le label Morr Music, Devin Townsend,
Jesus and the Mary Chain, Serge Gainsbourg, Brigitte Fontaine, The Swans,
Yngwie Malmsteen (si, si !) et des centaines d’autres…
En ce qui concerne le
cinéma, ma culture de base s’est essentiellement construite sur le cinéma
américain. De cette époque, je retiens les noms et films suivants :
John Carpenter (l’intégrale !), Alfred Hitchcock (Vertigo,
Psycho, The Birds, Marnie), Robert Aldrich (Kiss Me Deadly),
Billy Wilder (Some Like It Hot, Double Indemnity, Sunset Boulevard),
Blake Edwards (Pink Panther Strikes Again, Elle) Howard Hawks (The
Big Sleep, Red River, Monkey Business, Gentlemen Prefer Blondes, Rio Bravo)
Martin Scorcese (After Hours, King of Comedy, Casino) Brian De
Palma (Blow Out, Dressed To Kill, Obsession, Body Double, Phantom of
The Paradise), Quentin Tarantino (Pulp Fiction, Jackie Brown)
Tim Burton (Batman Returns, Edward Scissorshands, Ed Wood, Mars Attacks,
Nightmare Before Christmas) David Cronenberg (Shivers, Rabid, M.
Butterfly, Dead Ringers, Crash) David Lynch (Blue Velvet, Sailor
And Lula), Joseph L.Mankiewicz (Sleuth, The Ghost And Mrs Muir, The
Barefoot Contessa) Woody Allen (Everyone Say I Love You, Mighty
Aphrodite, Sleeper, Broadway
Danny Rose, The Purple Rose of Cairo) Joe Dante (Gremlins I et II),
Paul Verhoeven (Robocop, Starship Troopers) et Clint Eastwood (là
c’est difficile vu que j’adore presque tout).
Le
cinéma de Hong Kong et moi : Une rencontre qui a failli ne jamais
avoir lieu :
Eh oui ! Dire que j’ai failli passer à côté
de ce bonheur indescriptible !
Aussi loin que je m’en souvienne,
mon premier vrai contact avec le cinéma de Hong Kong remonte à l’année
1993. Certes, j’avais déjà par le passé vu les films de Bruce Lee,
mais ceux-ci m’avaient laissé un sentiment très mitigé, voire désagréable,
et je préférais de loin le cinéma américain. Bref, cette année-là,
je me souviens avoir feuilleté un journal spécialisé dans lequel Martin
Scorcese parlait d’un film exceptionnel, réalisé à Hong Kong, par un
certain John Woo et baptisé The
Killer. Tout de suite, je me dis qu’il y a là quelque chose à
gratter, un nouvel objet cinématographique à me mettre sous les
pupilles. Je me rends à mon
vidéoclub, je cherche dans les étagères et, à mon grand désespoir, je
ne le trouve pas !! A ce moment-là, j’aurai pu me rabattre sur
n’importe quelle production hollywoodienne, mais soudain mon regard est
attiré par une pochette sur laquelle est inscrit le nom de John Woo.
Certes, il ne s’agit pas de The Killer, mais d’un film
prénommé en français Une balle dans la tête.
Presque déçu, je le prends et rentre chez moi pour visionner la
chose. Deux heures plus tard, le générique final défile et je suis
abasourdi par ce que je viens de découvrir. Jamais je n’avais vu de
gunfights aussi stylisés, jamais je n’avais ressenti une telle intensité
visuelle et dramatique, le tout orchestré de main de maître . Dans la
foulée, je découvre The Killer et A toute épreuve
et…Chasse à l’homme. Là, évidemment, c’est une
grosse déception, même si je trouve le film rigolo et divertissant. Néanmoins,
j’en ai provisoirement fini avec le cinéma de Hong Kong.
Fin 2001, le grand cirque des médias
autour du très surestimé Tigre et Dragon bat son plein.
Lors d’un talk-show télévisé traitant du sujet, je tombe sur une
interview d’un petit bonhomme moustachu qui serait connu pour être le
« Spielberg » asiatique, un dénommé Tsui Hark. Pendant l’émission,
des extraits de Il était une fois Chine sont diffusés. Mes
yeux s’écarquillent, mon cœur s’accélère et je me prends à rêver
d’un cinéma où tout deviendrait possible. L’achat de l’objet
(merci Jean-Pierre Dionnet !) confirme mes espoirs. Quelques mois après,
j’apprends qu’un éditeur répondant au doux nom d’HKVideo va lancer
sur le marché DVD une série de films de Hong Kong. Encore dubitatif
quant à la réelle qualité de ce cinéma, je décide de louer Zu,
les guerriers de la montagne magique et là…j’arrête le film
au bout de cinq minutes, excédé par l’enchaînement épileptique des
plans et par un humour que je
ne comprends pas encore (il faut dire que j’étais en plein trip cinéma
d’auteur). Tout aurait pu s’arrêter à ce moment précis, mais
quelques jours après un ami m’appelle, m’apprend qu’il vient
d’acheter ce fameux Zu et m’invite chez lui pour que
l’on puisse le découvrir ensemble. Je lui fait part de mon scepticisme,
mais sans trop savoir pourquoi, j’accepte son offre. Et là, c’est la
révélation ! Le rythme est hallucinant, les idées les plus folles
s’enchaînent les unes après les autres, les protagonistes usent de
pouvoirs surnaturels, volent dans tous les sens, le tout dans un déluge
de couleurs que n’aurait pas renié le grand Mario Bava. La vision des
bandes-annonces accompagnant le DVD m’achèvera pour le compte.
Quelques jours après, je décide
d’en avoir le cœur net et prend le premier avion disponible pour Hong
Kong. Arrivé sur place, je me rue dans les magasins de DVD et, à ma
grande stupéfaction, je constate que la production cinématographique
hongkongaise ne se limite pas à une dizaine de films par année. Les bacs
sont remplis de centaines de films ! La main fébrile, je commence
mon investigation, observe attentivement les pochettes, chacune éveillant
en moi un désir d’achat incontrôlable. Mon séjour s’achève et je
suis désormais l’heureux possesseur d’une dizaine de films acquis
pour la plupart au hasard le plus total. Parmi ceux-ci figurent Shaolin
Soccer, Legend of Zu, Heroic Trio, City On Fire, Prison on Fire,
From Beijing With Love, The God of Cookery, The Lovers et A
Hero Never Dies. Inutile de vous dire que leur visionnage provoque en
moi en sentiment de bonheur indescriptible tant la créativité visuelle
et conceptuelle dégagée est intense. Depuis, il ne se passe plus un jour
sans que le cinéma de Hong Kong ne vienne hanter mon esprit d’une manière
ou d’une autre. Par commandes de 15 à 20 DVD par mois, je tente désormais
de combler mon retard avec le secret et utopique objectif de voir tous les
films réalisés à ce jour. Et dire que j’ai failli passer à côté de
tout cela ! Cela me rend malade rien que d’y penser…
Mes
goûts asiatiques :
Parlons d’abord des
acteurs et actrices. Au niveau de ces messieurs, mes préférences ne
surprendront personne : Chow Yun Fat (le plus grand acteur comique HK
de tous les temps), Stephen Chow, Lau Ching Wan, Andy Lau (une présence
de plus en plus efficace année après année), Anthony Wong, Simon Yam,
Tony Leung Chiu Wai et Tony Leung Ka Fai. Bref, que du beau linge !!
Côté actrice, j’avoue avoir quelques peines à faire preuve de toute
l’objectivité nécessaire. Au sommet, je placerai sans la moindre hésitation
la reine Chingmy Yau. Juste en dessous, la très classe Joey Wang et enfin
la magnifique Maggie Cheung pour complèter le trio magique. Certes, loin
de moi l’idée d’oublier
les Michelle Yeoh, Brigitte Lin, Moon Lee, Miriam Yeung, Charlene Choi,
Ruby Wong, Cynthia Khan et autres Cecilia Cheung. Enfin, mention particulière
à la jeune Anya Wu qui pourrait bien, dans un avenir tout proche, se
rapprocher de mon top trois.
En ce qui concerne les
réalisateurs, je voue un culte dénué de tout discernement à Tsui Hark
que je considère largement comme l’un des plus grands cinéastes
vivants. Derrière cette locomotive, j’avoue n’avoir jamais été déçu
par un Johnny To, réalisateur dont
j’apprécie particulièrement la volonté de se pas cantonner uniquement
au polar, mais d’essayer de toucher (le plus souvent avec bonheur) à
d’autres genres. En dehors de ces deux grands, nombreux sont les cinéastes
qui m’ont émerveillé : Dante Lam, Jeff Lau, John Woo (un autre très
grand), Gordan Chan, Riley Yip, Wong Jing (sans lui, le cinéma HK ne
serait peut-être pas complètement ce qu’il est), David Lai, Corey Yuen,
Yuen Woo Ping, Ching Siu Tung (LE maître de la chorégraphie), Wilson Yip,
Sammo Hung et, last but not least, Nam Nai Choi. Cette liste n’est bien
entendu pas exhaustive.
Enfin, sans ordre
particulier, voici quelques-uns des films HK que j’ai adorés : Legend
of Zu, Once Upon a Time In China, The Killer, Chinese Ghost Story, Naked
Killer, Naked Weapon, Shaolin Soccer, High Risk, Story of Ricky, Robotrix,
Future Cops, Running Out of Time 2, Full Time Killer, A Hero Never Dies , la
série des Aces Go Places, My Left Eye See Ghost , The Mission, Bullets
In The Head, ainsi que les films du trio Jackie Chan / Sammo Hung /
Yuen Biao.
Pour conclure, je
dirai qu’à ce jour je n’ai encore jamais été complètement déçu
par un film HK. Certes, certains sont
meilleurs que d’autres, mais tous ont en commun cette volonté de
ne pas faire comme ailleurs, de repousser sans cesse les limites du genre,
d’oser raconter et montrer les idées les plus folles. J’ai encore
beaucoup de chose à découvrir, mais j’ai déjà acquis la certitude
que le cinéma de Hong Kong sera toujours différent des autres cinémas…
Nom : QUEVILLART
Prénom :
Philippe
Alias : Iron Monkey - Uncle Phil
Date de
Naissance : 27 Août 1967
Profession :
Chef de triade comme Ekin
Taille :
1, 76 m
Poids :
76 kg
Situation
familiale : Marié, 1 enfant, bientôt 2…
Adresse e-mail : phedan@wanadoo.fr
Passions :
Le cinéma, le cinéma et le cinéma.
Collaboration dans le HKC2 : La Shaw
Brothers (portraits + critiques), le polar et Tsui Hark
Les
origines : Ma
grande passion pour le cinéma asiatique, et plus particulièrement le cinéma
hongkongais, est véritablement née avec l’avènement de John Woo, la découverte
de The Killer fût pour
moi un véritable choc. Il y eut aussi la découverte sur Canal Plus du
magnifique Chinese Ghost Story
de Ching Siu-tung, rarement un film ne m’avait autant enthousiasmé,
j’ai dû le revoir une bonne vingtaine de fois… Bien sûr, avant cela
j’avais déjà eu quelques contacts avec ce cinéma par l’entremise
des Bruce Lee et des Shaolin Movies exploitaient dans nos salles au début
des années 80. Un film comme Heroes
Of The East (Shaolin contre Ninja chez nous) ou 18
Bronzemen (sorti sous le titre de Shaolin et les 18 hommes de
bronze) m’avaient déjà profondément marqué. Le côté négatif
se trouvait dans l’exploitation que faisait les éditeurs de ces petits
joyaux, des titres frôlant le ridicule, un racisme très prononcé. La
France se délectait des « perles » de Max Pécas ou de
Philippe Clair, alors nos chers distributeurs croyaient voir du Z dans
toutes productions asiatiques. C’est là que l’on peut prendre
conscience de l’énorme bouleversement qu’a pu provoquer l’édition
des films de l’éditeur HK VIDEO. Enfin on pouvait voir nos chers films
dans des copies nickel, dans leur version d’origine et sous-titrées en
français : que du bonheur quoi… Depuis, le net est arrivé, le 13ème
me permet de faire mes emplettes de temps à autres, alors je dépense des
fortunes dans des films parfois nuls, mais j’aime ça…
Mes réalisateurs
favoris : A Hong-Kong, c’est Tsui Hark, Ringo Lam, John Woo et Samo
Hung, mais j’adore également des cinéastes
comme King Hu, Chang Cheh ou Chu Yuan. Grand passionné de cinéma
japonais également, j’apprécie particulièrement un cinéaste comme
Takeshi Kitano, mais également des réalisateurs marginaux comme Takashi
Miike ou Takashi Ishii. Sinon dans les anciens, Akira Kurosawa, Masaki
Kobayashi (son hara-kiri est mon film de chevet !), Kinji Fukasaku et
l’immense Seijun Suzuki. Je suis également un passionné du cinéma américain
d'après-guerre, les John Ford, Howard Hawks et John Huston. Stanley
Kubrick et Martin Scorsese sont deux cinéastes que j’apprécie
particulièrement. J’ai également une grande passion pour le cinéma
d’exploitation italien, dit « bis ». Alors je citerai des réalisateurs
comme Dario Argento, le spécialiste du « giallo », Lucio
Fulci, le maître de l’horreur macabre, Sergio Corbucci le maître du
western morbide (Django est un véritable chef d’œuvre), Sergio Sollima,
le récemment disparu Antonio Margheriti, Enzo G.Castellari, Ruggéro
Déodato,
etc… Sans oublier Il Maestro, l’immense Mario Bava, inspirateur
universel. Les genres que j’apprécie le plus : le giallo, le
western, les films d’horreur gore.
Mes
interprètes favoris : Commençons d’abord par les dames, alors
bien sûr je craque aisément devant une Joey Wong ou une Maggie Cheung,
mais mon idéal d’actrice se dessine sous les traits de la ravissante
Brigitte Lin. Christy Chung me fait craquer…
Chez les hommes, j’adore Tony Leung Chiu-wai et Leslie Cheung, mais ça,
c’est ne pas se fouler, je l’avoue. A part ça je citerai Chen Kuan
Tai, Frankie Chan, Eric Tsang et Norman Chu, de grands acteurs trop
souvent ignorés. A part ça je voue un culte à Big Samo, grand acteur
torturé.
Mes
films favoris : The Killer de John Woo est mon film HK
favori, suivent The Blade et OUATIC de Tsui
Hark, Full Alert de
Ringo Lam et Boxer From Shantung de Chang Cheh et Pao
Hsueh-Li. J’adore
les productions Shaw Brothers, en particulier les films de Chang Cheh et
de Liu Chia-Liang. Quelques films coup de cœur : A Touch Of Zen
de King Hu, Made In HK de Fruit Chan, Encounter Of The Spooky
Kind 2 de Ricky Lau et Fallen Angels de Wong Kar Wai… mais il
y en a tant d’autres.
Hors Asie
mes films cultes sont : Phantom Of The Paradise de Brian De
Palma, Raging Bull de Martin Scorsese et The Thing de John
Carpenter.
La
Musique : J’aime la guitare, j’aime donc les grands guitar
heroes : Neil Young, Frank Zappa, Mark Knopfler et plus récemment
Pearl Jam. Sinon, ça va du classique, au rock alternatif en passant par
la chanson française à texte (Brel, Brassens, Aznavour…). J’aime les
grands compositeurs de Bandes Originales, alors bien sûr James Wong et
Raymond Wong pour Hong Kong, mais également Joe Hisaishi pour le Japon.
Mais le plus grand compositeur de musique de films au monde est pour moi
Ennio Morriconne.
Nom :
OGé
Prénom : Jean-Louis
Autre nom
rencontré sur la toile : J-L
Date de
naissance : 24/09/1966 (Age mental
: inconnu)
Profession :
Enseignant
Caractéristiques
techniques :
- Taille : 1,87 m (debout) 47 cm (roulé en boule)
- Poids : 70 kg (tout mouillé)
- Yeux : 2 (marrons noisette)
- Groupe sanguin : AB négatif
Situation maritale : marié, une femme
(je précise quand même) : Annick, 3 petites filles : Emeline, Perrine et
Louise)
Adresse E-Mail : ici
Signe
particulier : Unique membre du fan
club français de Bobby Yip (acteur HK haut en couleurs)
Collaboration dans le HKC2 :
Webmaster, portraitiste, divers dossiers (cascadeurs de Jackie Chan, le
guide du fantastique, le lexique du ciné HK et de la culture chinoise),
le guide HK...
Hobbies
:
- la musique : cela allait (je parle au passé car je n'écoute quasiment
plus de musique depuis que le net accapare mon temps libre) du classique
à la techno en passant par la new-wave (Dépêche Mode, Anne Clark, In
the Nursery, New Order...), la pop. anglaise (Erasure, O.M.D., Matt Bianco,
Swing Out Sisters, Prefab Sprout ...), la pop. hong kongaise (Sally Yeh,
Jackie Chan, Jackie Cheung, Andy Lau...), l'électro-buddy music (Front
242, A Split Second, Borghesia, Neon Judgement...), le new-age (Krafwerk,
Art of Noise, René Aubry, Kitaro ...) les chansons de Bobby Lapointe (le
roi du calembour, de l'à peu près, du jeu de mots dont je suis très
friand), les bandes originales de films (aussi bien chinoises (OUATIC,
Drunken Master 2, Green Snake, Histoires de Fantômes
Chinois, The Lovers, Tai Chi Master, Phantom's Lover,
Swordsman...), japonaises (Joe Hisashi, Kitaro) qu'américaines
(James Horner, Randy Edelman, John Barry, John Williams, Danny Elfman...).
- Le cinéma américain : comme le reste, j'ai des goûts très éclectiques
: j'adore l'humour des ZAZ (de Top Secret aux Y-a-t-il ...),
de Mel Brooks (je connais par coeur La Folle Histoire de l'Espace),
de Peter Jackson (quel choc à la 1° vision de Bad Taste), la caméra
virevoltante de Sam Raimi...Je prends aussi mon pied quand j'en prends
plein les yeux et les oreilles : ils sont forts quand même ces amerloques
quand il s'agit de faire tout péter, d'utiliser des effets spéciaux
complètement déments, de filmer des courses poursuites de bagnoles à
200 à l'heure dans les rues des plus grosses villes du pays : rien à
redire quand ils nous font Star Wars, Indiana Jones, Terminator,
Predator, Die Hard, The Rock, Starship Troopers,
Chantons sous la pluie, L'Arme fatale, My Fair Lady,
(non non, ce n'est pas une erreur car j'ai failli oublier de dire que
j'adore les vieilles comédies musicales, un peu comme John Woo (précision
: j'aimais aussi avant de le connaître)). Les comédies sentimentales
intelligentes me branchent aussi comme Harry rencontre Sally, 4
Mariages 1 Enterrement, Mary à Tout Prix ...
- Le cinéma français : que vais-je bien pouvoir dire à propos de ce cinéma
??? Ah oui, je suis fan de Louis de Funès, Lino Ventura, Bernard Blier,
Georges Lautner (à l'époque des Tontons Flingueurs, des Barbouzes
et de Ne nous Fâchons pas ! qui restent quand même des
monuments). Bon je ne disserterai pas sur le nouveau french cinéma (Luc
Besson, Caro et Jeunet, Christophe Gans, Jan Kounen, Albert Dupontel...)
Mes
films cultes : Les Aventures de Jack Burton
dans les Griffes du Mandarin (qui est à l'origine de ma passion pour
les films new-wave de HK encore invisibles à l'époque pour les
provinciaux comme votre serviteur), La Folle Journée de Ferris Bueller
(le frère spirituel de Parker Lewis), Edward aux Mains d'Argent et
Babe (je verse une larme à chaque que je les regarde), De l'Or
pour les Braves (Clint Eastwood et Donald Sutherland sont merveilleux
en soldats débrouillards), Ne nous Fâchons Pas ! (j'adore le ton
désinvolte du film, Lino Ventura qui est ici impérial, et Jean Lefebvre
aussi bon que la musique), True Romance (dans lequel on pouvait
entr'apercevoir pour la 1° fois des passages du Syndicat du crime),
Jason et les Argonautes (un des meilleurs films d'aventures
fantastiques co-réalisé par Ray Harry Hausen). Cette liste n'est bien sûr
pas exhaustive, mais ceci déborderait de notre propos.
Maintenant,
parlons un peu de mes goûts asiatiques : j'adore
surtout les films de sabres complètement déjantés (style Swordsman),
les kung-fu new-wave (style Once Upon a Time in China), les polars
à la John Woo (Hardboiled), et ........... les comédies
cantonaises non-sensiques de Chow Sing Chi (j'ai déjà fait un mini
dossier sur lui). En plus, il faut bien que je t'avoue que j'adore l'un
des films les plus débile qui existe : Dong Cheng Xi Jiu (Eagle
Shooting Heroes) : reprenant la même nouvelle que Ashes of Time
(d'ailleurs le scénario est également de Wong Kar-Wai !!) cette parodie
possède les mêmes acteurs que son modèle, mais cette fois-ci, ils sont
tous complètement déjantés. Jeff Lau y mêle tout ce que son esprit
tordu peut imaginer (et vous pouvais me croire, il est vraiment atteint
l'animal !!).
Mes
acteurs préférés sont : Jet Li, Chow Yun Fat
(bien entendu), Stephen Chow Sing Chi, Jackie Chan le Magnifique et j'ai
un petit faible pour Elvis Tsui Kam Kong (le teinturier de Sex an Zen)
et Ng Man Tat (le side-kick de Stephen Chow Sing Chi) (entre-autres). Mes
actrices préférées sont bien sûr Lin Ching Hsia, Maggie Cheung, mais
j'avoue avoir des palpitations quand je vois Michelle Reis (ou Lee si tu
veux), Cheung Man, Christy Chung ou Chingamy Yau (bien évidemment, la
liste n'est pas complète)
1966-1985 : Les
origines de mes goûts asiatiques
Comme le dit si bien Smaïn, je suis de religion cathodique, bercé
nonchalamment par l’Ile aux Enfants durant
ma prime jeunesse, je fus soudainement réveillé par une série qui
faisait fureur le samedi en fin d’après-midi sur Antenne 2 : San
Ku Kai. C’était la révélation chez cet
adolescent pré-pubaire qui venait de découvrir les joies de ces
programmes venant d’Asie. Ce fut ensuite l’avènement de Dorothée
(paix à son âme) : la course après l’école pour ne pas rater le
dernier épisode de Goldorak, Albator, Cobra,
et Candy (nul n’est
parfait). Sur FR3, on ne ratait aucun morceaux d’Edgar
de La Cambriole (Lupin), Capitaine Flam ...
Bref, la douce époque des Barpapas, de
Gribouille, d’Antivol l’oiseau au sol, d’1 Rue Sésame,
des doux Visiteurs du Mercredi, l’Autobus à
Impériale, SuperBug, Les Sentinelles de l’Air était
révolue. Place enfin à l’action débridée (sans jeu de mots).
Mais quand je repense, avec nostalgie, à ce merveilleux temps de
l’innocence perdue, une image un peu plus forte que les autres me
revient à l’esprit : celle qui provient de samedis soirs sur TF1 en
deuxième partie de soirée (après les imperturbables variétés de l’époque)
où l’on pouvait voir des feuilletons comme Le
Riche et le Pauvre, Payton
Place mais surtout La
Légende des Chevaliers aux 108 Etoiles. Jamais
rediffusée, cette fantastique saga nippone narre les aventures de Lin
Chung, un chinois renégat vivant durant la dynastie Sung (il y a plus de
1000 ans). Avec l’aide de compagnons rencontrés aux fils des ses
errances, il essaiera de se disculper vis à vis d’un gouvernement cruel
et corrompu. Tout au long des 26 épisodes, les combats à la main et au
sabre se succédaient. Les personnages hauts en couleurs avait chacun leur
technique de combat, parfois surnaturel comme « l’homme qui
court plus que le vent » (le Steeve Austin chinois), l’homme à la
hache ... Un peu à la manière de Robin des Bois (pour l’histoire) et
de San Ku Kai (pour
les combats), on ne pouvait pas rater la suite de ces chevaliers
fantastiques. Impossible à revoir en VF, j’ai dû me résigner à les
retrouver dernièrement en version anglaise grâce la sortie vidéo de
l’intégral de la série chez nos amis Grands-Bretons sous le titre
original « The Water Margin ».
Bon, ça a pas mal vieilli, mais ça fait du bien de réentendre la
musique du générique, de voir que finalement et au bout du compte, c’était
vachement bien pour l’époque.
1986-1993 : Les débuts
de ma passion cinéphilique
Déjà accroc aux combats délirants de San Ku
Kai et des Chevaliers ..., je tombais sur le
cul à la première vision des Aventures de Jack
Burton dans les Griffes du Mandarin : tout ce
dont j’avais rêvé et que je n’aurais jamais osé espérer était
devant moi : les légendes chinoises, des héros dotés de pouvoirs
surhumains ne connaissant pas les lois de la gravité, des combats
fantastiques, des effets vraiment spéciaux ... le panard de la décennie
!!!
Tout ceci se passait en 1986 et je n’avais pas la moindre idée de
l’existence de réalisateur comme Tsui Hark, Ching Siu Tung ... Mais
heureusement que le festival d’Avoriaz venait de faire découvrir en
1988 un petit film qui allait vite devenir culte pour moi (et pour bien
d’autres fans) : Histoires de Fantômes
Chinois. 4° choc : après avoir entr’aperçu
la bande annonce au Journal du Cinéma de Canal Plus, c’était décidé
: il fallait à tout prix voir ce chef d’oeuvre en puissance. Bien évidemment,
toutes mes espérances furent immédiatement comblées et ce fut à ce
moment là une véritable révélation : c’était ce genre de cinéma
qu’il me fallait.
Après mon service militaire, j’achetais alors mon premier magnétoscope
et je me décidais à écumer tous les vidéoclubs de la région à la
recherche de tous les films de HK disponibles. Bien évidemment, la tache
fut ardue : seuls des Bruce Lee, des Jackie Chan étaient vraiment connus
à l’époque. Heureusement que les Butterfly Warriors (futurs HK Orient
Extrême Cinéma), IMPACT, l’Ecran Fantastique, Les Griffes du
Cinéphages...
étaient tous là pour me guider spirituellement. En ce qui concerne les
petits polars nerveux (John Woo n’était alors qu’un inconnu pour
moi), un petit article paru dans Karaté Bushido m’avait fortement éclairé
sur les disponibilités vidéos : il reprenait les meilleurs films de
femmes balèzes et donnait les références et leur avis. S’inspirant de
lui, j’ai même décidé de vous concocter ma propre liste de ces films
parfois oubliés (quelquefois à juste titre) => cf. « A la
Recherche des Vieux Trésors Perdus ».
1994-1995 : Une
passion dévorante, une soif inassouvie
Rapidement, j’étais enfermé dans un carcan hexagonal : pas moyen de découvrir
tous les chefs d’oeuvre dont me parlaient Julien Carbon, David Martinez,
Patrick Nadjar, Marc Toullec (tous ces parisiens qui peuvent
s’approvisionner à volonté dans leur China-town). Le bouquet, c’est
quand j’ai découvert pour la première fois (toujours au Journal du Cinéma
qui illustrait la rétrospective HK à la cinémathèque de Paris en 93)
un extrait de Once Upon a Time in China
(le passage où Jet Lee se bat sous la pluie à coup de tronc d’arbre
virevoltant dans les airs sans toucher le sol). Tout ce que j’avais pu
voir avant était balayé par tant de maestria dans la mise en scène et
dans la photo : je devais coûte que coûte me les procurer. Je passe donc
une petite annonce en 94 pour savoir si je n’étais pas seul au monde.
C’est à partir de ce moment là que j’ai véritablement commencé à
devenir un collectionneur fou du ciné HK : je me procure toutes les vidéos
et les fanzines d’Eastern Heroes, les superbes cassettes de Made in Hong
Kong (le HK Vidéo british), je me fais transcoder les lasers du 13°
arrondissement, j’achète les CD des B.O.F. à Musica, je m’informe grâce
aux bouquins disponibles (The Essential Guide to Deadly China Dolls - The
Essential Guide to Hong Kong Movies - The Essential Guide to the Best of
Eastern Heroes - Asian Trash Cinema : The Book (Part 1 & 2) - Sex and
Zen & Bullet in the Head (The Essential Guide to Hong Kong
Mind-bending Films)- un recueil d’affiches de films (venant directement
de HK) - le fanzine Hong Kong Film Connection (Vol. III Issue I + II + Vol
IV Issue II) - quelques SHE, Oriental Cinema - tous les HK Orient Extrême
Cinéma - le spécial Asie du Cinéphage et le n° spécial HK des Cahiers
du Cinéma - tous les articles parus dans Impact, Mad Movies, l’Ecran
fantastique, le Cinéphage ... - le gros bouquin Ciné Kung Fu (des frères
Armanet))...
Les jours passent et ...nouveau choc :
la découverte d’Hard Boiled
au ciné : ce fut la première (et la dernière) fois que j’allais voir
un film deux fois en deux jours (j’ai eu certainement peur d’avoir
loupé un cadavre dans un coin). Idem pour la 1° rétrospective de notre
maître vénéré John Woo au Métropole de Lille du 5 au 18 janvier 1994
: hallucinant !!! Idem pour l’hommage donné à Tsui Hark lors du 8°
festival de Valenciennes en mars 97 !!! Le pied intégrale en somme. Et
maintenant, les Butterfly Warriors prennent leur envol vers des cieux bénis
des Dieux, leur magazine est ce qui se fait de mieux dans le genre, des
chefs d’oeuvre sont enfin accessibles à un public normal, les réalisateurs
de HK sont enfin reconnus en France et aux U.S.A., MATRIX et Yuen Wo Ping
(le directeur des combats) va révolutionner le genre ... Bref, que du bon
à venir.
1996-199? : la
reconnaissance du ciné HK
Finalement, cette quête allait aboutir à la rencontre de Master Cyco et de
quelques autres comme Jacques, lors du Festival de Valenciennes qui proposa
une rétrospective Tsui Hark. C'est aussi à ce moment là qu'un petit
magazine de cinéma allait naître et qu'il allait rapidement devenir la référence
ultime du cinéma made in Hong Kong : j'ai bien sûr nommé HK
ORIENT EXTREME CINEMA. Tout allait vite s'enchaîner,
Grégory alias Master Cyco; me proposa dernièrement de faire partie d’une
bande de joyeux loustics (voir la rubrique "la rédaction") qui
venait d’inaugurer un nouveau site sur le WEB consacré au cinéma de HK.
Comment refuser une telle offre qui
rapidement aller faire partager ma passion avec des millions d’internautes
? C’était tout bonnement impossible et me voilà donc maintenant assis
devant mon PC en train de vous raconter ma vie. Au bout du compte, même si
ma période manga est bien finie (j’attends cependant avec impatience la
sortie nationale (toujours retardée) du magnifique Princesse
Mononoke (que j’ai eu la chance de voir sur
grand écran lors de l’avant dernier festival de Valenciennes)), je reste
donc fidèle (et plus que jamais) au monde fabuleux du cinéma de HK. Jean-Louis
(septembre 99)
2000-200?
: Un aboutissement ?
Tigre & Dragon est succès
planétaire, les oeuvres de Myasaki sont enfin visibles, Johnnie To
se paie un beau succès d'estime en France, Shaolin Soccer est même
apparu sur nos écrans... On ne peut plus se passer d'un chorégraphe
hongkongais pour le moindre film d'action hollywoodien... Bref, l'Asie est
enfin reconnue à sa juste valeur. Le web n'est pas en reste et les sites
fleurissent, la qualité médiocre d'antan a fait place à des sites conçus
par des passionnés de plus en plus nombreux et qui connaissent le sujet.
Aujourd'hui, janvier 2003, une nouvelle étape est franchie : un nouveau
portail est créé qui a pour but de mieux encore expliquer le cinéma
hongkongais, de mieux faire connaître tous ses protagonistes. J'espère de
tout cœur que vous y trouverez votre bonheur et que l'on aura éclairer un
peu plus votre lanterne. A plus. Jean-Louis (janvier 2003)
Nom :
LANUQUE
Prénom : Arnaud
Autre nom
rencontré sur la toile : Palplathune
Date de
naissance : 1978
Profession :
Etudiant en droit
Adresse Email : ici
Autre site où j'officie : wagoo
Collaboration dans le HKC2 :
Interviewer, portraitiste (surtout la partie "Gweilos")
Tel
est ton destin ! (Darth Vader)
Avertissement pour les parents qui me lisent : Ne laisser jamais
votre enfant devant un film de Hong Kong ! C’est l’erreur que
commirent mes parents en me laissant regarder sur l’ex 5 le dégénéré
Le Roi du Kung Fu Attaque. Forcément, un film où le héros perd
son bras, se brûlent les nerfs de la main comme technique secrète de
kung fu ( ! ) et où les lamas tibétains se gonflent comme des
baudruches ne peut que laisser une forte impression sur le jeune enfant de
8 ans que j’étais. Les premiers germes étaient plantés, ils écloront
10 ans plus tard pour ne plus jamais me quitter.
Pendant les 10 ans qui suivront je continuerai ma formation cinéphilique
d’abord par des grands films populaires souvent fantastiques (les
Harryhausen,
les péplums Italiens, les films de la Hammer…) puis en découvrant les
auteurs incontournables (Kubrick, Hitchcock, Truffaut…). Le cinéma de
Hong Kong ne sera pas oublié mais demeurera en hibernation faute de véritable
déclencheur (Bruce Lee ne m’a jamais beaucoup fasciné).
Les choses vont commencer à évoluer avec la lecture dans
l’incontournable Mad Movies des non moins incontournables articles de
Julien Carbon. Son enthousiasme se fera vite contagieux et commencera à
influencer mes recherches en vidéo clubs. Le virus commençait à se développer…
La parution du HK Mag consacrera définitivement la passion. Quasiment
chacune de leurs sorties VHS se retrouvera dans ma collection. Mais cela
n’est pas encore suffisant pour ma soif de découvertes et je me mets
parallèlement à hanter les brocantes et autres déstockages de vidéos
clubs à la recherche des petites perles qui auraient pu m’échapper
(merci Kara Films et les autres). A cela il faut aussi rajouter les VHS
Australiennes trouvés à Album lors des rares passages sur Paris (et qui
mettront mon budget à mal) ainsi que les co-achats avec un ami Nancéen
de DVDs HK qu’il me transférera en VHS (la vie est rude quand on a
qu’un magnétoscope).
L’investissement dans un bel ordinateur pourvu d’un lecteur DVDrom
(joie !) et l’accès à Internet me permettront d’assouvir encore
davantage ma passion et me rendre compte que je n’étais pas la seule
personne atteinte de ce virus en France.
Enfin, véritable aboutissement à mes yeux, j’eus l’occasion de
partir à Hong Kong en 2001. Une découverte qui ne fait que renforcer mon
intérêt pour le cinéma local et m’ouvre de nouveaux horizons dans mon
exploration de la culture locale.
Acteurs
favoris :
Au niveau féminin je voue un culte contre nature envers Athena Chu, elle
a joué dans plus d’un nanar mais je continue à la soutenir !
Il y en a évidemment bien d’autres : Cheng Pei Pei (quel charisme !),
Carina Lau (une des meilleur actrice HK en activité), l’incontournable
Brigitte Lin Ching Hsia, Kelly Chen et Josie Ho pour les petites nouvelles
et toutes les « action women » comme Moon Lee, Yukari Oshima…
Au niveau masculin j’ai une grande affection pour tous les second
couteaux en activité à HK : Ng Man Tat, Lau Kar Wing, Eric Tsang,
Vincent Kok, Lam Suet… De même je vénère le petit groupe d’acteurs
connus sous le nom de « super kickers » : Wang Tang Lee,
Wong Ing Sik, Ken Lo…
Dans les acteurs plus
connus je peux citer des incontournables comme Stephen Chow, Tony Leung
Chiu Wai, Ti Lung, Daniel Wu
(dans les nouveaux), Yuen Biao et encore bien d’autres que je n’ai pas
le courage de lister.
Films favoris :
God of Cookery : Un sommet du style Chow et une éclate assuré à
chaque fois que je le vois.
Peking Opera Blues : Chef d’œuvre absolu de Hark touchant à
tous les styles avec une maîtrise hallucinante.
A Better Tomorow : A mes yeux le meilleur Woo, empreint
d’une forte émotion dans chaque plan.
Swordsman 2 : Un des meilleur Wu Xia, bourré d’énergie et
de style.
Pedicab Driver : Le style Samo a son paroxysme.
All About Ah Long :
Un drame touchant et un Chow Yun Fat excellent.
The Big Heat : Un polar hardcore, la vision noire de Hong
Kong.
Lost and Found : Une romance teintée de drame particulièrement
réussie, d’ailleurs même Michael Wong y est bon, c’est dire !
School On Fire : Du Lam sans concession et
prenant du début jusqu’à la fin.
Chungking Express : Des acteurs au top et une bonne
retranscription de l’énergie propre à l’ex colonie.
Evidemment il y a encore
bien d’autres à citer mais cela deviendrait vite fastidieux a lire alors
on va en rester là.
Cinéma
hors Asie :
Mes réalisateurs cultes sont Kubrick, Kurosawa et Lynch. Aucun déchet chez
eux à mes yeux.
Ensuite ceux que j’aime beaucoup sont nombreux : Argento, Clouzot,
les Monthy Pythons, Fukasaku, Burton, Oshii, Tavernier, Lang, Fischer…
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